André Racicot, « Cancel culture », sur andreracicot.ca, (consulté le ) : « L’expression se traduit assez mal. Comme on peut le deviner, l’anglicisme a la cote dans les médias français et même ici au Canada. Les traductions comme culture de la cancellation (sic), culture de l’annulation ne sont guère inspirantes ».
(en) Anita Bright et James Gambrell, « Calling In, Not Calling Out: A Critical Race Framework for Nurturing Cross-Cultural Alliances in Teacher Candidates », Handbook of Research on Promoting Cross-Cultural Competence and Social Justice in Teacher Education, , p. 217–235 (DOI10.4018/978-1-5225-0897-7.ch011, lire en ligne, consulté le ).
(en) Anita Bright et James Gambrell, « Calling In, Not Calling Out: A Critical Race Framework for Nurturing Cross-Cultural Alliances in Teacher Candidates », Handbook of Research on Promoting Cross-Cultural Competence and Social Justice in Teacher Education, , p. 217–235 (DOI10.4018/978-1-5225-0897-7.ch011, lire en ligne, consulté le ).
(en) Chris Edwards, « Post-outrage TV: how South Park is surviving the era of controversy », The Guardian, (ISSN0261-3077, lire en ligne, consulté le ).
(en-US) Sarah Ellison et Elahe Izadi, « The Harper’s ‘Letter,’ cancel culture and the summer that drove a lot of smart people mad », The Washington Post, (ISSN0190-8286, lire en ligne, consulté le ).
la-croix.com
Bernard Gorce, « L’université dépassée par les questions identitaires », La Croix, (lire en ligne).
« Mark Lilla, Margaret Atwood, Wynton Marsalis… : ‟Notre résistance à Donald Trump ne doit pas conduire au dogmatisme ou à la coercition” », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
Thomas Chatterton Williams et Dominique Nabokov, « Thomas Chatterton Williams : « Un espace public corseté par la “cancel culture” ne sert pas les intérêts des minorités » », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
Gilles Paris, « La ‟cancel culture” en accusation aux États-Unis », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
Laure Murat, « La “cancel culture”, dernier recours d’une population sans autre voix que l’Internet », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
Nathalie Heinich, « La “cancel culture” est la conséquence du sous-développement juridique nord-américain », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le ).
« Genre, identités, cancel culture… Le fantasme du péril américain », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le ).
« Quatre questions pour cerner les débats autour du terme « woke » », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le ).
Cécile Ducourtieux, « La Cancel Culture rattrape une journaliste britannique », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
André Racicot, « Cancel culture », sur andreracicot.ca, (consulté le ) : « L’expression se traduit assez mal. Comme on peut le deviner, l’anglicisme a la cote dans les médias français et même ici au Canada. Les traductions comme culture de la cancellation (sic), culture de l’annulation ne sont guère inspirantes ».
(en) Chris Edwards, « Post-outrage TV: how South Park is surviving the era of controversy », The Guardian, (ISSN0261-3077, lire en ligne, consulté le ).
(en-US) Sarah Ellison et Elahe Izadi, « The Harper’s ‘Letter,’ cancel culture and the summer that drove a lot of smart people mad », The Washington Post, (ISSN0190-8286, lire en ligne, consulté le ).