(réf.: Almanach royal et national pour l'an MDCCCXXXIV (1834) présenté à Sa Majesté et aux princes et princesses de la famille royale, pages 523 et 524 https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k203761t/f543.item# [archive], consulté le 22 octobre 2021).
« Dans le Noyonnais, Thibaut Delavenne présente son équipe : Le maire de Guiscard, Thibaut Delavenne, a présenté ses colistiers lundi, dans le cadre des Départementales de juin prochain », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )« Autre point primordial pour le maire de Guiscard, qui présente une liste sans étiquette: dépasser les luttes intestines du Noyonnais et leur proposer une alternative autre que le vote Rassemblement National, parti auquel les conseillers départementaux sortants Michel Guiniot et Nathalie Jorand appartiennent ».
« Elections départementales à Noyon : le RN menacé par le duo sans étiquette », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
S.L.B., « Départementales à Noyon: les indépendants Delavenne et Achin battent le RN : Le duo devance les candidats du Rassemblement national de plus de 2 300 voix », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
« Élu sans étiquette du canton de Noyon-Guiscard, Thibaut Delavenne rejoint la majorité de droite au Département », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )« Thibaut Delavenne, élu en 2021 conseiller départemental sans étiquette de Noyon-Guiscard, a rejoint le 19 septembre, à l’occasion d’une séance à huis clos de commission permanente à l’Hôtel du Département, le groupe de la majorité de droite, dirigé par la présidente LR, Nadège Lefebvre ».
Loi du 22 février 2021 portant report, de mars à juin 2021, du renouvellement général des conseils départementaux, des conseils régionaux et des assemblées de Corse, de Guyane et de Martinique.
« Noyon-Guiscard : Delavenne renonce », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le )« A gauche, le leadeur incontesté est Patrick Deguise (PS), maire de Noyon et conseiller général sortant. Cela implique que son coéquipier soit une femme, et contraint donc Thibaud Delavenne, maire et conseiller général sortant de Guiscard, à ne pas être candidat ».
Jean-Yves Bonnard, « Marie-Louis-Jules Audebert, le maire éclairé : En février 1848, une révolution populaire mettait à bas la monarchie de Juillet. L’abdication de Louis-Philippe, roi des Français, donna naissance à la IIe République qui porta à sa tête Louis-Napoléon Bonaparte. À Noyon, le nouveau régime se caractérisa par l’élection de Jules Audebert comme maire », Vivre Noyon, no 62, , p. 10 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
Jean-Yves Bonnard, « Sézille de Biarre, un nom, deux maires de Noyon : Famille aux nombreuses attaches noyonnaises, les Sézille de Biarre donneront deux maires à la ville de Noyon au cours du XIXe siècle sous deux régimes politiques : la monarchie et l’empire. », Vivre Noyon, no 81, , p. 16 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
Jean-Yves Bonnard, « Ernest Noël, sénateur-maire de Noyon (1re partie) Les conquêtes politiques : Le 13 janvier 1931, le président du Sénat Paul Doumer rendait un hommage solennel à la
mémoire d’Ernest Noël décédé le 25 décembre 1930 : « Il n’a jamais eu d’autre préoccupation
que de servir l’intérêt public ». Quelques mois plus tard, devenu président de la république, il accepta de parrainer le comité d’honneur formé pour ériger un monument en l’honneur de l’illustre Noyonnais. Jules Magnier, alors maire de Noyon, lança un appel à la générosité de ses concitoyens : « C’est pour la ville de Noyon un devoir et un honneur d’attirer votre attention sur la vie exemplaire du grand Citoyen et du grand Français qui vient de disparaître, M. E. Noël, et de faire appel à vos sentiments de justice et de gratitude pour perpétuer la mémoire de cet homme de bien ». », Vivre Noyon, no 36, , p. 16 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
Fabien Crinon, « Jules Magnier, directeur d’école laïque (1re partie : Après avoir débuté sa carrière d’instituteur en passant douze ans dans plusieurs écoles villageoises de l’Oise, Jules Magnier est
nommé en 1889 à la direction de l’école communale laïque des garçons de Noyon. Cette promotion est intervenue dans le contexte
des premières lois de laïcisation de la République », Vivre Noyon, no 53, , p. 14 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
Fabien Crinon, « Jules Magnier, maire de Noyon et conseiller général de l’Oise durant l’entre-deux-guerres (2e partie) : Le 11 janvier 1936, l’ancien maire de Noyon et directeur honoraire d’école Jules Magnier est nommé chevalier de la Légion d’honneur, distinction qui lui sera remise le 15 mars suivant par le colonel Achille Granthomme. La Gazette de l’Oise rapporte que le doyen de la majorité départementale est « considéré dans tous les milieux comme personnifiant le dévouement au bien public, ayant, au cours de sa laborieuse existence, consciencieusement rempli tous les devoirs qui lui incombaient. » », Vivre Noyon, no 54, , p. 14 (lire en ligne [PDF], consulté le ).