François Vergnolle de Chantal, « Carl Schmitt et la "revolution conservatrice" américaine », Raisons Politiques 2005/3, no 3, , p. 211-229 (lire en ligne)
Hans Matthias Kepplinger, Rechte Leute von links. Gewaltkult und Innerlichkeit, 1970; Christian Linder, Der lange Sommer der Romantik. Über Hans-Magnus Enzensberger, in: Literaturmagazin 4, 1975 p. 85–107. Voir aussi Christian Linder, Freund oder Feind, in: Lettre International, no 68, 2005, p. 84ss. Également les observations de Tae-Ho Kang, Poesie als Selbstkritik – Hans Magnus Enzensbergers negative Poetik, Dissertation, 2002, p. 3ss. (PDF)
die-neue-ordnung.de
Andreas Raithel, FAZ, 15. août 2000 (Courrier des lecteurs). Le paragraphe complet est le suivant :
Le communiste individuel peut toujours être sauvé ; mais le Juif reste toujours un Juif… L'antisémitisme nazi n'est donc ni dû à un conflit entre les principes nordiques et sémites comme l'affirment les nazis, ni à un antisémitisme inhérent au peuple allemand comme on le dit souvent dans le monde. Il a été causé précisément par l'absence de toute distinction de tout conflit, de toute différence entre les Juifs allemands et une grande partie du peuple allemand - à savoir la classe moyenne libérale. Les nazis n'ont pas persécuté les Juifs parce qu'il restaient un corps étranger au sein de l'Allemagne mais précisément parce qu'ils étaient devenus presque totalement assimilés et avaient cessé d'être Juifs. Ce que les Juifs sont véritablement ou quel est leur caractère, quelles sont leurs actions ou leurs pensées est par conséquent sans intérêt. Et l'on pourra bien démontrer cent fois que les fameux protocoles de Sion ne sont que des fabrications maladroites, ils doivent être vrais puisque le complot juif contre l'Allemagne est réel.
(Drucker, The End of Economic Man, page 158 ss., cité d'après FAZ. Drucker, lui-même Juif et lié à Hans Kelsen (gregorbrand), fut après 1945 conseiller en entreprise et Nestor du Traité de managment (Biographie). Il connaissait Schmitt dès l'époque de Weimar (peterdrucker.at). Wolfgang Spindler écrit également : « Cette expression ressassée, faisant des Juifs assimilés les "véritables ennemis", n'est absolument pas celle du juriste. Il en est question dans un ouvrage que mentionne Schmitt d'un expert peu connu : The End of Economic Man – A Study of the New Totalitarism de Peter F. Drucker. » (Wolfgang Spindler, in "Schmitts Welt, Carl Schmitt in der deutschsprachigen Literatur", Die Neue Ordnung N°. 6/2005, décembre, Jg. 59 (Internet).
doi.org
dx.doi.org
Amine Benabdallah, « Une réception de Carl Schmitt dans l'extrême-gauche: La théologie politique de Giorgio Agamben », Mémoire IEP Paris, (DOI10.13140/RG.2.1.2065.4965/1, lire en ligne, consulté le )
euv-frankfurt-o.de
kuwi.euv-frankfurt-o.de
Étienne Balibar, Le Hobbes de Schmitt, le Schmitt de Hobbes, préface de Carl Schmitt, Le Léviathan dans la doctrine de l'État de Thomas Hobbes, tr. Denis Trierweiler (Paris: Seuil 2002), p. 7. Cf. aussi Anselm Haverkamp, Säkularisation als Metapher, Transversalités 87 (2003), 15–28 (deutsch als PDF).
faz.net
Lutz Hachmeister et Stefan Krings, Rudolf Augstein rief Carl Schmitt zu Hilfe, (Rudolf Augstein appelle Carl Schmitt à la rescousse)FAZ, 23. août 2007, Nr. 195, p. 29. Augstein souhaitait déposer un recours devant la Cour Constitutionnelle contre la saisie fédérale du Nr. 28 du SPIEGEL par Konrad Adenauer. À cette fin il demanda un soutien juridique à Schmitt. Il fit remarquer dans une lettre, qu'il sentait chez Schmitt « une certaine indulgence amicale ». Il rendit également visite en personne à Schmitt, qu'intéressait une telle saisine pour un problème général de publication et de stratégie. Cette saisine n'eut cependant aucune suite.
flechsig.biz
« „Der Führer schützt das Recht vor dem schlimmsten Missbrauch, wenn er im Augenblick der Gefahr kraft seines Führertums als oberster Gerichtsherr unmittelbar Recht schafft.“ » in Der Führer schützt das Recht, DJZ vom 1. August 1934, Heft 15, 39. Jahrgang, Spalten 945 – 950. Article complet online: PDF
forhistiur.de
Reinhard Mehring: Carl Schmitt und der Antisemitismus. Ein unbekannter Text, in: Forum Historiae Iuris, mars 2006.
Mathias Schmoeckel, Carl Schmitts Begriff des Partisanen – Fragen zur Rechtsgeschichte des Partisanen und Terroristen, in: Forum Historiae Iuris, 31. März 2006; Markus Vasek, Mit Carl Schmitt nach Guantánamo: der Terrorist, ein moderner Partisan?, Juridikum. Zeitschrift für Kritik, Recht, Gesellschaft, Wien 2009, 1, S. 18–20; s. auch zur Frage politischer Motivation piratischer Akte und der Übertragbarkeit auf den modernen Terrorismus: Olivier Gänsewein, Michael Kempe, Die Feinde der Welt – Sind internationale Terroristen die neuen Piraten?, in: FAZ, 25. September 2007, S. 36: „Piraterie und Terrorismus sind Phänomene der permanenten Grenzüberschreitung und Aufhebung von Unterscheidungen, etwa der Unterscheidung von Krieg und Frieden, von regulärer und irregulärer Kriegsführung, von Militär und Zivilbevölkerung, von Staatlichkeit und Privatheit oder von Freund und Feind.“
Reinhard Mehring: Der „Nomos“ nach 1945 bei Carl Schmitt und Jürgen Habermas, Forum Historiae Iuris, 31. März 2006. Voir aussi: Reinhard Mehring: Carl Schmitt – zur Einführung. Hamburg 1992.
Leonard Landois, Konterrevolution von links: Das Staats- und Gesellschaftsverständnis der '68er' und dessen Quellen bei Carl Schmitt. (Würzburger Universitätsschriften zu Geschichte und Politik 11), Nomos-Verlag, Baden-Baden 2008. Commentaire de Armin Pfahl-Traughber : „En particulier chez Johannes Agnoli et Hans-Jürgen Krahl, deux théoriciens significatifs des années 1960, trouve-t-on toujours des accords avec Carl Schmitt concernant l'argumentaire. Il en résulte que des recherches approfondies sur cette influence sont d'actualité.“ hpd Nr. 5252, 10. September 2008
hu-berlin.de
hsozkult.geschichte.hu-berlin.de
cf. par exemple Dirk van Laak, Gespräche in der Sicherheit des Schweigens. Carl Schmitt in der politischen Geistesgeschichte der frühen Bundesrepublik, 1993; ou Frieder Günter, Denken vom Staat her. Die bundesdeutsche Staatsrechtslehre zwischen Dezision und Integration 1949–1970, 2004; Günter parle d'influence de Ludwik Fleck (du même : Entstehung und Entwicklung einer wissenschaftlichen Tatsache. Einführung in die Lehre vom Denkstil und Denkkollektiv, 1935) également de la pensée collective des écoles de Schmitt et de Smed (cf. par exemple à ce sujet la recension de Reinhard Mehring in H-Soz-u-Kult)
rewi.hu-berlin.de
Alexander Proelß, Nationalsozialistische Baupläne für das europäische Haus? John Laughland’s „The Tainted Source“ vor dem Hintergrund der Großraumtheorie Carl Schmitts, in: Forum Historiae Iuris, 12. Mai, 2003
juedisches-recht.de
„Durant la république de Weimar, Schmitt fit une carrière particulièrement rapide. Celle-ci ne fut pas encouragée de façon déterminante par les Juifs avec lesquels il entretenait durant cette période des contacts variés tant professionnels que privés. Cela ne devait pas changer après la prise de pouvoir par les nationaux-socialistes. Schmitt dénonça ses collègues de travail d'origine juive et l'on peut trouver dans la littérature de l'époque ses nombreux pamphlets antisémites.“ Susanne Benöhr, Recension du livre de Raphael Gross „Carl Schmitt und die Juden“, Goethe-Universität
lemonde.fr
Yves Charles Zarka, « Carl Schmitt, nazi philosophe ? », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
nrw.de
im.nrw.de
Haltung der rechtsextremistischen Szene zum Irak-Konflikt, Ministère de l'Intérieur du land de Nordrhein-Westfalen, mars 2003, p. 6 (PDF).
peterdrucker.at
Andreas Raithel, FAZ, 15. août 2000 (Courrier des lecteurs). Le paragraphe complet est le suivant :
Le communiste individuel peut toujours être sauvé ; mais le Juif reste toujours un Juif… L'antisémitisme nazi n'est donc ni dû à un conflit entre les principes nordiques et sémites comme l'affirment les nazis, ni à un antisémitisme inhérent au peuple allemand comme on le dit souvent dans le monde. Il a été causé précisément par l'absence de toute distinction de tout conflit, de toute différence entre les Juifs allemands et une grande partie du peuple allemand - à savoir la classe moyenne libérale. Les nazis n'ont pas persécuté les Juifs parce qu'il restaient un corps étranger au sein de l'Allemagne mais précisément parce qu'ils étaient devenus presque totalement assimilés et avaient cessé d'être Juifs. Ce que les Juifs sont véritablement ou quel est leur caractère, quelles sont leurs actions ou leurs pensées est par conséquent sans intérêt. Et l'on pourra bien démontrer cent fois que les fameux protocoles de Sion ne sont que des fabrications maladroites, ils doivent être vrais puisque le complot juif contre l'Allemagne est réel.
(Drucker, The End of Economic Man, page 158 ss., cité d'après FAZ. Drucker, lui-même Juif et lié à Hans Kelsen (gregorbrand), fut après 1945 conseiller en entreprise et Nestor du Traité de managment (Biographie). Il connaissait Schmitt dès l'époque de Weimar (peterdrucker.at). Wolfgang Spindler écrit également : « Cette expression ressassée, faisant des Juifs assimilés les "véritables ennemis", n'est absolument pas celle du juriste. Il en est question dans un ouvrage que mentionne Schmitt d'un expert peu connu : The End of Economic Man – A Study of the New Totalitarism de Peter F. Drucker. » (Wolfgang Spindler, in "Schmitts Welt, Carl Schmitt in der deutschsprachigen Literatur", Die Neue Ordnung N°. 6/2005, décembre, Jg. 59 (Internet).
prokla.de
A la question d'un journaliste, W. Schäuble répliquait simplement "Lisez donc le livre de Depenheuer et forger vous une opinion sur cette question". Cet accord avec Depenheuer est par conséquent de façon indirecte un accord avec Schmitt. À ce sujet David Salomon, Carl Schmitt Reloaded – Otto Depenheuer und der 'Rechtsstaat', PROKLA. Zeitschrift für kritische Sozialwissenschaft, no 152, 38. 2008, Nr. 3 (PDF)
revues.org
asterion.revues.org
Politische Romantik, p. 172. À ce sujet voir Christian E. Roques, « Radiographie de l’ennemi : Carl Schmitt et le romantisme politique », Astérion [En ligne], 6 | 2009, mis en ligne le 03 avril 2009, URL : http://asterion.revues.org/1487
rgdoi.net
Amine Benabdallah, « Une réception de Carl Schmitt dans l'extrême-gauche: La théologie politique de Giorgio Agamben », Mémoire IEP Paris, (DOI10.13140/RG.2.1.2065.4965/1, lire en ligne, consulté le )
telospress.com
journal.telospress.com
Friedrich Balke: Punkte problematischer Solidarität. Hannah Arendt, Carl Schmitt und die Furcht vor den Massen. – In: Intellektuelle im Nationalsozialismus. Wolfgang Bialas, Manfred Gangl. Frankfurt/M.: Peter Lang 2000, p. 210–227; Point de vue particulier sur Arendt et Schmitt: Philipp zum Kolk, Hannah Arendt und Carl Schmitt. Ausnahme und Normalität – Staat und Politik. Peter Lang, Frankfurt am Main [u. a.] 2009; Andreas Herberg-Rothe, „Hannah Arendt und Carl Schmitt – ‚Vermittlung‘ von Freund und Feind“, in: Der Staat, Heft 1/ mars 2004, p. 35–55; Christian J. Emden: Carl Schmitt, Hannah Arendt and the Limits of Liberalism, Telos 2008 (142), p. 110–134 (PDF), Hans Sluga, The Pluralism of the Political: From Carl Schmitt to Hannah Arendt, Telos 142 (Spring 2008), p. 91-109 (PDF)
Édition de poche de 1986, p. 724. Dans l'édition américaine originale de 1951 des Origines du Totalitarisme on trouve: „Most interesting is the example of the jurist Carl Schmitt, whose very ingenious theories about the end of democracy and legal government still make arresting reading; as early as the middle thirties, he was replaced by the Nazis own brand of political and legal theorists.” Cf. Hannah Arendt, The Origins of Totalitarianism (New York: Harcourt, Brace and Company, 1951), p. 332. Cité d'après: Christian J. Emden: Carl Schmitt, Hannah Arendt and the Limits of Liberalism, Telos 2008 (142), p. 114 (PDF)http://journal.telospress.com/cgi/reprint/2008/142/110. A d'autres endroits Arendt s'exprime en accord avec Schmitt lorsque par exemple elle écrit que Schmitt est „Le meilleur défenseur de la notion de souveraineté” ou bien „Il (Schmitt) reconnait clairement que la racine de la souveraineté est la volonté : est souverain celui qui veut et qui commande.” Cité d'après Emden, p. 115.
telospress.com
Ellen Kennedy, Carl Schmitt und die Frankfurter Schule in Geschichte und Gesellschaft 12/1986, 380 ss. Édition anglaise („Carl Schmitt and the Frankfurt School“) in: TELOS 71, Spring 1987
twoday.net
gregorbrand.twoday.net
Gregor Brand écrit: „Kelsen [était] un homme que Schmitt a profondément détesté. Par exemple, avec un détournement grotesque pour un ex-conseiller d'État comme Schmitt, on lit dans son Glossarium à l'entrée du 11 juin 1948, que Kelsen – qui dut émigrer pour ne pas être assassiné comme ses coreligionnaires européens – est un de ces « anéantisseurs, pourrisseurs, effaceurs, destructeurs » et lui rappelle un de ces « petits succubes dans l'enfer de Hieronymus Bosch ». (Gregor Brand – Liber Philosophicus)
Andreas Raithel, FAZ, 15. août 2000 (Courrier des lecteurs). Le paragraphe complet est le suivant :
Le communiste individuel peut toujours être sauvé ; mais le Juif reste toujours un Juif… L'antisémitisme nazi n'est donc ni dû à un conflit entre les principes nordiques et sémites comme l'affirment les nazis, ni à un antisémitisme inhérent au peuple allemand comme on le dit souvent dans le monde. Il a été causé précisément par l'absence de toute distinction de tout conflit, de toute différence entre les Juifs allemands et une grande partie du peuple allemand - à savoir la classe moyenne libérale. Les nazis n'ont pas persécuté les Juifs parce qu'il restaient un corps étranger au sein de l'Allemagne mais précisément parce qu'ils étaient devenus presque totalement assimilés et avaient cessé d'être Juifs. Ce que les Juifs sont véritablement ou quel est leur caractère, quelles sont leurs actions ou leurs pensées est par conséquent sans intérêt. Et l'on pourra bien démontrer cent fois que les fameux protocoles de Sion ne sont que des fabrications maladroites, ils doivent être vrais puisque le complot juif contre l'Allemagne est réel.
(Drucker, The End of Economic Man, page 158 ss., cité d'après FAZ. Drucker, lui-même Juif et lié à Hans Kelsen (gregorbrand), fut après 1945 conseiller en entreprise et Nestor du Traité de managment (Biographie). Il connaissait Schmitt dès l'époque de Weimar (peterdrucker.at). Wolfgang Spindler écrit également : « Cette expression ressassée, faisant des Juifs assimilés les "véritables ennemis", n'est absolument pas celle du juriste. Il en est question dans un ouvrage que mentionne Schmitt d'un expert peu connu : The End of Economic Man – A Study of the New Totalitarism de Peter F. Drucker. » (Wolfgang Spindler, in "Schmitts Welt, Carl Schmitt in der deutschsprachigen Literatur", Die Neue Ordnung N°. 6/2005, décembre, Jg. 59 (Internet).
static.twoday.net
Andreas Raithel, FAZ, 15. août 2000 (Courrier des lecteurs). Le paragraphe complet est le suivant :
Le communiste individuel peut toujours être sauvé ; mais le Juif reste toujours un Juif… L'antisémitisme nazi n'est donc ni dû à un conflit entre les principes nordiques et sémites comme l'affirment les nazis, ni à un antisémitisme inhérent au peuple allemand comme on le dit souvent dans le monde. Il a été causé précisément par l'absence de toute distinction de tout conflit, de toute différence entre les Juifs allemands et une grande partie du peuple allemand - à savoir la classe moyenne libérale. Les nazis n'ont pas persécuté les Juifs parce qu'il restaient un corps étranger au sein de l'Allemagne mais précisément parce qu'ils étaient devenus presque totalement assimilés et avaient cessé d'être Juifs. Ce que les Juifs sont véritablement ou quel est leur caractère, quelles sont leurs actions ou leurs pensées est par conséquent sans intérêt. Et l'on pourra bien démontrer cent fois que les fameux protocoles de Sion ne sont que des fabrications maladroites, ils doivent être vrais puisque le complot juif contre l'Allemagne est réel.
(Drucker, The End of Economic Man, page 158 ss., cité d'après FAZ. Drucker, lui-même Juif et lié à Hans Kelsen (gregorbrand), fut après 1945 conseiller en entreprise et Nestor du Traité de managment (Biographie). Il connaissait Schmitt dès l'époque de Weimar (peterdrucker.at). Wolfgang Spindler écrit également : « Cette expression ressassée, faisant des Juifs assimilés les "véritables ennemis", n'est absolument pas celle du juriste. Il en est question dans un ouvrage que mentionne Schmitt d'un expert peu connu : The End of Economic Man – A Study of the New Totalitarism de Peter F. Drucker. » (Wolfgang Spindler, in "Schmitts Welt, Carl Schmitt in der deutschsprachigen Literatur", Die Neue Ordnung N°. 6/2005, décembre, Jg. 59 (Internet).
wikipedia.org
de.wikipedia.org
Paul Noack(de), Carl Schmitt, 1993, p. 81. La confrontation de Schmitt avec le fascisme italien commence en 1923 dans son écrit L'état spirituel du parlementarisme d'aujourd’hui. En 1929, il concrétise ses réflexions dans sa recension du livre d'Erwin von Beckerath(de), Wesen und Werden des faschistischen Staates (Être et devenir de l’État fasciste). Noack juge ainsi les rapports de Schmitt avec Mussolini: « À la vérité, Schmitt s'est souvent référé aux théoriciens italiens de l'état de Machiavel à Pareto en passant par Mosca, mais la réalité sociale et politique de l'État fasciste lui est resté étranger » (Noack, S. 83). Wolfgang Schieder(de) juge également : « Carl Schmitt ne s'est en réalité jamais vraiment occupé du fascisme italien. » (Wolfgang Schieder: Carl Schmitt und Italien, in: Vierteljahrshefte für Zeitgeschichte, Jg. 37, 1989, S. 1 ff., hier S. 14). En 1936, Schmitt fait partie d'une délégation à laquelle Mussolini accorde une audience d'une demi-heure, mais il n'eut jamais de discussion personnelle avec lui.
Il s'agit d'un jugement du tribunal constitutionnel concernant la compatibilité du Traité de Maastricht de 1992 avec la constitution allemande cf. Maastricht-Urteil(de)
Reinhard Mehring, Karl Löwith, Carl Schmitt, Jacob Taubes und das „Ende der Geschichte“, in: Zeitschrift für Religions- und Geistesgeschichte(de), 48, 1996, p. 231–248; A propos des explications de Löwith avec Schmitt cf. également Karl Löwith: Der okkasionelle Dezisionismus von Carl Schmitt. in: Sämtliche Schriften, Band 8 (Heidegger), Stuttgart 1984, p. 32–71
en.wikipedia.org
Martin Jay, Reconciling the Irreconcilable: A Rejoinder to Kennedy, Ulrich K. Preuß(en), The Critique of German Liberalism: A Reply to Kennedy) et Alfons Söllner, Beyond Carl Schmitt: Political Theory in the Frankfurt School; Ausujet de la critique du parlementarisme par Habermas cf., Hartmuth Becker, Die Parlamentarismuskritik bei Carl Schmitt und Jürgen Habermas, Berlin 2003, 2. Ed.
Vergleiche auch den persönlichen Bericht von Lutz Niethammer in einem Vortrag einer Tagung des Max-Planck-Instituts für Geschichte aus dem März 2000 über die Rolle der Kulturwissenschaften im Nationalsozialismus: „Was mir damals weniger bewußt war, erfuhr ich in der folgenden Zeit mit wachsendem Erstaunen – nämlich die Faszination Schmitts auch für die Linke. In Heidelberg war seinerzeit nur darüber getuschelt worden, daß Jürgen Habermas' Konzeption der bürgerlichen Offenheit in seiner Habilitationsschrift auffallende Ähnlichkeiten zu derjenigen Schmitts aufwies. Später konnte ich – in sehr unterschiedlichen Formen – diese Faszination bei – mir Linksliberalem nahestehenden, aber zeitweise wesentlich linkeren – Kollegen wie Dieter Groh, Jacob Taubes, Dan Diner, Nicolaus Sombart oder Jürgen Seifert auch persönlich entdecken, was mich besonders bei zwei so bewußten Juden wie Taubes und Diner angesichts des eliminatorischen Antisemitismus Schmitts mindestens zwischen 1933 und 1936 und der auf Juden bezogenen Grundspannung seines Lebenswerks noch einmal mehr verwunderte. Seither hat sich diese Spur ja noch sehr verbreitert: erinnert sei hier nur etwa an Ellen Kennedys Ausgrabung von Walter Benjamins Huldigung an C.S., die Bekehrung des Maoisten Günter Maschke zur Schmitt-Gelehrsamkeit, den Umstand, daß die führende New Yorker '68er-Zeitschrift 'Telos' in den 1980ern zu einer Art amerikanischer Importagentur für Schmitts Werk geworden ist, daß Heiner Müller am Ende der DDR von nichts so sehr fasziniert schien wie von Jünger und Schmitt, daß der Demokratiebegriff der westdeutschen ’68er unbewußt – und derjenige der ersten DDR-Verfassung bewußt – auf einer höchst problematischen Begriffskonstruktion Schmitts beruhte. […] Unter den jüngeren Schmittianern waren […] auch zu radikalen Ausschlägen neigende Irrlichter wie Bernard Willms, der die 70er Jahre als Ultra-Linker begann und als Ultra-Rechter beendete und damit eine auch sonst seither in z. T. weniger extremer Form (siehe z. B. Bahro(en), Enzensberger, Sloterdijk, Botho Strauß oder auch noch extremer der RAF- und NPD-Anwalt Mahler) beobachtbare, aber gottlob nicht allgemeine Tendenz verkürzte.“ Lutz Niethammer, Die polemische Anstrengung des Begriffs – Über die exemplarische Faszination Carl Schmitts, in: Hartmut Lehmann, Otto Gerhard Oexle (Hg.), Nationalsozialismus in den Kulturwissenschaften, Band 2, 2004, S. 41-82 (S. 49).
zeit.de
Volker Neumann, Carl Schmitt und die Linke, Die Zeit Nr. 28/1983, 8. Juillet 1983
Thomas Assheuer, Zur besonderen Verfügung: Carl Schmitt, Kursbuch Heft 166, cf. Zeit.de