Voir le texte officiel du décret : (es) « Gobierno del Estado. Decreto número 255 », Boletín Oficial del Estado, no 182, , p. 1033-1034 (lire en ligne, consulté le ).
(es) « En la fiesta de San Isidro. Rosquillas de la tía Javiera », Hoja Oficial del lunes, Asociación de la Prensa, no 269 (época tercera), , p. 1 (lire en ligne, consulté le )
nuevatribuna.es
(es) Clemente Bernad, Víctor Moreno, José Ramón Urtasun, Carlos Martínez, Fernando Mikelarena, Carolina Martínez, Ángel Zoco, Txema Aranaz, « La consagración de la desmemoria », NuevaTribuna, (lire en ligne)
(es) Manuel Santa Cruz et Alberto Ruiz de Galarreta(en), Apuntes y documentos para la Historia del Tradicionalismo Español, vol. 3, Madrid, , p. 19 ; (es) Mercedes Vázquez de Prada, El final de una ilusión. Auge y declive del tradicionalismo carlista (1957-1967), Madrid, (ISBN9788416558407), p. 18 ; Martorell Pérez 2009, p. 11, 43 ; Rodón Guinjoan 2015, p. 144 oppose les « collaborationnistes aux anticollaborationnistes » ; également collaborationists en anglais (Blinkhorn 2008, p. 294), ou kolaboracjoniści en polonais, (pl) Jacek Bartyzel(pl), « Don Carlos Marx. Studium przypadku rewolucyjnej transgresji tradycjonalizmu w socjalizm w hiszpańskim karlizmie », Studia Philosophica Wratislaviensia, vol. V, no 4, , p. 68
José María Valiente se vit offrir le poste de vice-ministre de la justice au début des années 1940, offre qu'il déclina ; dans les années 1960, il aspirait au poste de ministre. Juan Sáenz-Díez(en) s'opposa à l'unification franquiste dans les années 1940, mais dans les années 1960, il aspirait à des responsabilités à la mairie de Madrid et fut également pressenti pour devenir ministre. Miguel Fagoaga resta initialement à l'écart de l'administration officielle, mais sur recommandation officielle de la direction carliste, il obtint un siège aux Cortes et un poste de secrétaire de FET.
Luis Ventalló(es), opposé à la politique anticalaniste de l'administration franquiste, fut progressivement relégué à des postes inférieurs ; Fernando Vázquez Ramos(es) perdit la lutte contre le chef local de FET aux Baléares ; Agustín Tellería Mendizábal(en) fut relégué à des postes mineurs au Guipuscoa ; Ramón José Maldonado y Cocat(es) fut rélégué par le chef de FET à Logroño et se consacra à sa carrière universitaire ; Eustaquio Echave Sustaeta(en) fut critiqué en tant que cacique traditionaliste lorsqu'il était chef de FET en Alava et fut rapidement transféré à un poste beaucoup moins important ; Jesús Elizalde(en), indigné par la domination phalangiste au sein du parti d'État unifié, démissionna de son poste au sein du Comité politique de FET peu de temps avant le triomphe nationaliste dans la guerre civile.
Sur les 50 candidats sur la liste carliste aux Cortes pendant la République et ayant survécu à la guerre, 22 se sont ensuite impliqués dans les structures franquistes : Arellano, Bau, Bilbao, Elizalde, Granell, Lis Quiven, Llanas, Joaquín Manglano(en), Martínez de Morentín, Oreja, Pagoaga, Puigdollers, Rodezno, Quint(ca), Rada, Ramirez Sinues, Tellería, Toledo, Urraca, Valiente et Zamanillo.
sur 13 ayant survécu, 5 s'engagèrent dans le franquisme : Rodezno, Comín, Bilbao, Lisbona Alonso et Echave Sustaeta ; Larramendi, Senante, Solana, Tejera, González de Amezua(en) et Argamasilla ne s'engagèrent pas.
Luis Ventalló(es), opposé à la politique anticalaniste de l'administration franquiste, fut progressivement relégué à des postes inférieurs ; Fernando Vázquez Ramos(es) perdit la lutte contre le chef local de FET aux Baléares ; Agustín Tellería Mendizábal(en) fut relégué à des postes mineurs au Guipuscoa ; Ramón José Maldonado y Cocat(es) fut rélégué par le chef de FET à Logroño et se consacra à sa carrière universitaire ; Eustaquio Echave Sustaeta(en) fut critiqué en tant que cacique traditionaliste lorsqu'il était chef de FET en Alava et fut rapidement transféré à un poste beaucoup moins important ; Jesús Elizalde(en), indigné par la domination phalangiste au sein du parti d'État unifié, démissionna de son poste au sein du Comité politique de FET peu de temps avant le triomphe nationaliste dans la guerre civile.
ce fut aussi le cas des carlistes entrés aux Cortes en étant élus par le « tiers familial », par exemple José Ángel Zubiaur et Auxilio Goñi, ou encore Fidel Carazo Hernández(es) et Antonio Arrúe, bien que certaines sources considèrent les deux derniers comme des représentants du franquisme
Sur les 50 candidats sur la liste carliste aux Cortes pendant la République et ayant survécu à la guerre, 22 se sont ensuite impliqués dans les structures franquistes : Arellano, Bau, Bilbao, Elizalde, Granell, Lis Quiven, Llanas, Joaquín Manglano(en), Martínez de Morentín, Oreja, Pagoaga, Puigdollers, Rodezno, Quint(ca), Rada, Ramirez Sinues, Tellería, Toledo, Urraca, Valiente et Zamanillo.
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(es) Manuel Santa Cruz et Alberto Ruiz de Galarreta(en), Apuntes y documentos para la Historia del Tradicionalismo Español, vol. 3, Madrid, , p. 19 ; (es) Mercedes Vázquez de Prada, El final de una ilusión. Auge y declive del tradicionalismo carlista (1957-1967), Madrid, (ISBN9788416558407), p. 18 ; Martorell Pérez 2009, p. 11, 43 ; Rodón Guinjoan 2015, p. 144 oppose les « collaborationnistes aux anticollaborationnistes » ; également collaborationists en anglais (Blinkhorn 2008, p. 294), ou kolaboracjoniści en polonais, (pl) Jacek Bartyzel(pl), « Don Carlos Marx. Studium przypadku rewolucyjnej transgresji tradycjonalizmu w socjalizm w hiszpańskim karlizmie », Studia Philosophica Wratislaviensia, vol. V, no 4, , p. 68