Carlo-franquisme (French Wikipedia)

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  • Voir le texte officiel du décret : (es) « Gobierno del Estado. Decreto número 255 », Boletín Oficial del Estado, no 182,‎ , p. 1033-1034 (lire en ligne, consulté le ).

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  • (es) « En la fiesta de San Isidro. Rosquillas de la tía Javiera », Hoja Oficial del lunes, Asociación de la Prensa, no 269 (época tercera),‎ , p. 1 (lire en ligne, consulté le )

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  • (es) Nuevatribuna, « Familias políticas franquistas », sur Nuevatribuna, (consulté le )

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  • (es) Manuel Santa Cruz et Alberto Ruiz de Galarreta (en), Apuntes y documentos para la Historia del Tradicionalismo Español, vol. 3, Madrid, , p. 19 ; (es) Mercedes Vázquez de Prada, El final de una ilusión. Auge y declive del tradicionalismo carlista (1957-1967), Madrid, (ISBN 9788416558407), p. 18 ; Martorell Pérez 2009, p. 11, 43 ; Rodón Guinjoan 2015, p. 144 oppose les « collaborationnistes aux anticollaborationnistes » ; également collaborationists en anglais (Blinkhorn 2008, p. 294), ou kolaboracjoniści en polonais, (pl) Jacek Bartyzel (pl), « Don Carlos Marx. Studium przypadku rewolucyjnej transgresji tradycjonalizmu w socjalizm w hiszpańskim karlizmie », Studia Philosophica Wratislaviensia, vol. V, no 4,‎ , p. 68
  • José María Valiente se vit offrir le poste de vice-ministre de la justice au début des années 1940, offre qu'il déclina ; dans les années 1960, il aspirait au poste de ministre. Juan Sáenz-Díez (en) s'opposa à l'unification franquiste dans les années 1940, mais dans les années 1960, il aspirait à des responsabilités à la mairie de Madrid et fut également pressenti pour devenir ministre. Miguel Fagoaga resta initialement à l'écart de l'administration officielle, mais sur recommandation officielle de la direction carliste, il obtint un siège aux Cortes et un poste de secrétaire de FET.
  • cas de Zamanillo ; d'autres carlistes liés au búnker, comme Antonio María Oriol ou Jesús Evaristo Casariego (en), s'étaient ralliés au franquisme dès ses débuts
  • Florencio Aldaz Villanueva, Mariano Puigdollers Oliver, Luis Arellano, José María Sentis Simeón, Rafael Díaz Aguado, Lorenzo Alier Cassi (en) ou María de Naverán Sáenz de Tejada (ast)
  • Luis Ventalló (es), opposé à la politique anticalaniste de l'administration franquiste, fut progressivement relégué à des postes inférieurs ; Fernando Vázquez Ramos (es) perdit la lutte contre le chef local de FET aux Baléares ; Agustín Tellería Mendizábal (en) fut relégué à des postes mineurs au Guipuscoa ; Ramón José Maldonado y Cocat (es) fut rélégué par le chef de FET à Logroño et se consacra à sa carrière universitaire ; Eustaquio Echave Sustaeta (en) fut critiqué en tant que cacique traditionaliste lorsqu'il était chef de FET en Alava et fut rapidement transféré à un poste beaucoup moins important ; Jesús Elizalde (en), indigné par la domination phalangiste au sein du parti d'État unifié, démissionna de son poste au sein du Comité politique de FET peu de temps avant le triomphe nationaliste dans la guerre civile.
  • Sur les 50 candidats sur la liste carliste aux Cortes pendant la République et ayant survécu à la guerre, 22 se sont ensuite impliqués dans les structures franquistes : Arellano, Bau, Bilbao, Elizalde, Granell, Lis Quiven, Llanas, Joaquín Manglano (en), Martínez de Morentín, Oreja, Pagoaga, Puigdollers, Rodezno, Quint (ca), Rada, Ramirez Sinues, Tellería, Toledo, Urraca, Valiente et Zamanillo.
  • sur 13 ayant survécu, 5 s'engagèrent dans le franquisme : Rodezno, Comín, Bilbao, Lisbona Alonso et Echave Sustaeta ; Larramendi, Senante, Solana, Tejera, González de Amezua (en) et Argamasilla ne s'engagèrent pas.

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  • (es) Manuel Santa Cruz et Alberto Ruiz de Galarreta (en), Apuntes y documentos para la Historia del Tradicionalismo Español, vol. 3, Madrid, , p. 19 ; (es) Mercedes Vázquez de Prada, El final de una ilusión. Auge y declive del tradicionalismo carlista (1957-1967), Madrid, (ISBN 9788416558407), p. 18 ; Martorell Pérez 2009, p. 11, 43 ; Rodón Guinjoan 2015, p. 144 oppose les « collaborationnistes aux anticollaborationnistes » ; également collaborationists en anglais (Blinkhorn 2008, p. 294), ou kolaboracjoniści en polonais, (pl) Jacek Bartyzel (pl), « Don Carlos Marx. Studium przypadku rewolucyjnej transgresji tradycjonalizmu w socjalizm w hiszpańskim karlizmie », Studia Philosophica Wratislaviensia, vol. V, no 4,‎ , p. 68

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