La maire, sur le site Bobigny gueule d'amour, belle d'esprit : « Catherine Peyge est née le 8 octobre 1959, d'un père chocolatier et d'une mère secrétaire médicale, à Marignac en Haute-Garonne, petite commune des Pyrénées ».
bobigny.fr
9 villes de l'Est parisien ? Parlons-en-franchement, compte rendu, octobre 2009 : « La communauté d’agglomération de l’Est-parisien baptisée « Est ensemble » et composée des villes de Bagnolet, Bobigny, Bondy, Les Lilas, Le Pré-Saint-Gervais, Montreuil, Noisy-le-Sec, Pantin et
Romainville, a pris effet en janvier 2010 ».
« Bobigny », Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
jimdo.com
u.jimdo.com
Raphaëlle Bacqué, Les Roms perdus de Bobigny, Le Monde, 29-11-2014 : « A l'époque, l'édile, dont les premiers engagements ont été pour les Jeunesse ouvrières chrétiennes [...] ».
Caroline Fourest, Le vigile et la fausse vigilance, Lemonde.fr, 28 mai 2010 : « La défiance raciste a pu jouer, de part et d'autre, mais la motivation raciste n'est pas démontrée. Il s'agit donc d'un fait divers. A moins de vouloir transformer toute altercation entre un juif et un Arabe en affaire politique ».
Anthime Verdier, A Bobigny, la « gueule de bois » des communistes, Libération, 7 avril 2014 : « Trois jours après la défaite, les militants se sont retrouvés dans une salle de l’espace Maurice-Nilès. Catherine Peyge, maire sortante, prend la parole : « J’ai pris la décision de ne pas siéger au conseil municipal. » ».
Bobigny prend un nouvel arrêté contre l'expulsion locative, sur le site pcf.fr, 20 mars 2008 : « Le 14 mars 2008 , à la veille de la reprise des expulsions locatives, la maire réélue de Bobigny, Catherine Peyge, signe un nouvel arrêté pour interdire les expulsions locatives, premier acte politique du nouveau conseil municipal ».
Sylvia Zappi, La droite brigue Bobigny, citadelle rouge de la Seine-Saint-Denis, Le Monde, 26-03-2014 : « Aujourd'hui encore, c'est le nom du maire disparu à 51 ans qu'on cite quand on veut faire la différence avec l'édile actuelle. « Lui savait » écouter, discuter, venir au contact... Les verbes déclinés sont autant de qualités déniées à Catherine Peyge, trop distante. Elle a beau vanter les 2 500 logements qu'elle a fait construire, la « métamorphose » du centre-ville, les chantiers de la cité Karl-Marx, sa « consult'action » et ses 14 000 questionnaires sur l'avenir de la ville, l'élue de 55 ans aux cheveux courts et blond platine a gardé, de ses années à la Jeunesse ouvrière chrétienne, son air un peu trop sûr d'avoir raison ».