Cf. sa fiche biographique sur le site de l'Assemblée nationale, Documents, édition de la Fédération des cours d'orateurs et de documentation, n° 8, juin-août 1936 (n° 52 de Documents). Palewski était déjà conseiller juridique de la Fédération des correspondants républicains nationaux de journaux
L'Epoque, 3 février 1938 Y assistent un représentant de la Fédération républicaine, le député Jacques Poitou-Duplessy, un représentant du PSF ( Léotard ), trois autres parlementaires ( Lardier, Nader, d'Aramon ), etc.
L'Echo de Paris, 6 février 1927, L'Echo de Paris, 8 juin 1927. « Nos amis des JP se sont toujours montrés sur la brèche pour ce travail ingrat, certes, mais nécessaire », lit-on dans la "page du centre" dans l'Echo de Paris du 13 février 1936, qui signale que l'affichage est réalisé en banlieue parisienne par des jeunes militants des JP, de la Solidarité française et des Volontaires nationaux (mouvement de jeunesse des Croix de Feu)
L'Echo de Paris, 1er novembre 1927, "Ce que sera le stage des conférenciers", Ibid., du 19 au 30 novembre 1927: annonces du programme de la journée. Les cours de diction sont donnés par des professeurs spécialisés, Brémont, Dorival, de la Comédie française, et Ledoux. Brémont va intervenir régulièrement dans les années qui suivent.
L'Echo de Paris, 14 mars 1935, ibid., 13 mars 1934, 2 juin 1934, "M. Paul Hazard au cours d'orateurs" ( il avait donné une autre conférence l'année précédente ), 15 février 1936 ( B. Faÿ, conférence sur les origines de la franc-maçonnerie ). Le CPRN revendique 510 inscrits en 1934, dont 104 étudiants, 59 ingénieurs, 51 employés, 46 avocats et 31 médecins: L'Echo de Paris, 2 novembre 1934, p. 1. Il annonce 800 inscrits fin 1935, dont 206 étudiants, 94 avocats, 88 ingénieurs, 76 employés, 43 médecibs: L'Echo de Paris, 4 novembre 1935
Bulletin des propagandistes républicains-nationaux, n° 46, décembre 1933, n° 64, juillet 1935: 3e congrès de la fédération, à Reims, au siège de l'Alliance républicaine de la Marne de Pitois, La Croix, 31 juillet 1935, "Echos de partout".
L'Echo de Paris, 25 mai 1927. Il est le président-fondateur (1919) de l'Union des combattants de l'air. Cf. son Dossier de la Légion d'honneur d'André Wateau sur la base Léonore (grand-croix en 1931) et L'Aérophile, 1er janvier 1921, "André Wateau" (biographie). Wateau, actif dans les associations de l'aéronautique (président de l'Aéroclub de France en 1934), général de réserve en mai 1940, sera désigné juge à la Cour suprême de justice en août 1940, et donc magistrat au Procès de Riom (Le dossier Rebatet, Robert Laffont, 2015 p. 429. Erreur d'orthographe sur le nom de Wateau). Après la Seconde Guerre mondiale, il anime avec les avocats du Maréchal Pétain un réseau informel qui vient en aide à Pétain: Jérôme Cotillon, Ce qu'il reste de Vichy, Armand Colin, 2003 (même erreur sur l'orthographe de son nom)
Mondain (membre du comité du Cercle de l'union artistique), figure de la société parisienne et cannoise avec son épouse, le général (mis en disposition en 1918 comme colonel) est assez fortuné, par son mariage en 1912 avec la veuve d'un riche industriel du Nord, Auguste Mahieu. Kerillis les a rencontrés par l'intermédiaire de leur fils l'aviateur Michel Mahieu (tué en 1917). Cf. Annuaire industriel, 1938, Jean-Marie Wiscart, Au temps des grands liniers : les Mahieu d'Armentières 1832-1938. Une bourgeoisie textile du Nord, Artois Presses Université, 2010. Le général et son épouse ont versé plusieurs fois de gros dons au Centre, signalés par L'Écho de Paris (50 000 francs en 1927, 10 000 francs en 1932, en 1935, en 1936), L'Humanité ou Le Populaire, 7 mars 1932. La générale Morgon soutient Kerillis jusqu'à son décès en 1938 : L'Epoque, 17 novembre 1938
Cf. infra la page de propagande du Centre dans l'Echo de Paris du 16 janvier 1936. Collaborateur annoncé du quotidien L'Époque, au titre du Centre de propagande, comme Rome, Naud et Legendre: Le Journal, 2 juin 1937, "Un nouveau journal de M. Henry Simond". À moins qu'il ne s'agisse d'un homonyme, il sera chef-adjoint du cabinet de Pierre Cathala sous l'Occupation, puis sous-préfet de Château-Thierry en juin 1942 (Le Matin, 12 juin 1942, "Informations politiques").
. Le Gaulois, 20 mai 1924, L'Echo de Paris, 23 janvier 1934, Ibid., 1er mai 1935, Ibid., 4 mai 1935, Ibid., 13 février 1936, "La page du Centre de propagande"
L'Echo de Paris, 22 octobre 1930, "En avant pour les élections de 1932", Olivier Dard, Le rendez-vous manqué des relèves des années 1930, PUF, 2002, p. 37. Il collabore à La Touraine républicaine et dirige un petit périodique parisien dans les années 1930, Le débat libre. Mittler sera partisan de la collaboration sous l'Occupation; condamné à 15 ans de prison, il fut cependant gracié : Guy Hontarrède, La Charente dans la Seconde Guerre mondiale, Croît vif, 2004, p. 112
L’Écho de Paris, 11 septembre 1929, "Le moment est venu de se réorganiser en vue de la propagande contre le socialisme", Jean Philippet, Le temps des ligues: Pierre Taittinger et les Jeunesses patriotes, 1919-1944, Volume 1, Presses universitaires du Septentrion, 2001, p. 320. F. d'Huart (1892-1986) est l'administrateur-délégué d'une firme héritée de ses parents, les Faïenceries de Longwy (au capital de 1,6 million de francs, employant 500 ouvriers: Annuaire industriel, 1925 ). Il est administrateur de Senelle-Maubeuge et de la Mine de Godbrange, et est lié par ses attaches familiales (son père a été l'un des fondateurs des Aciéries de Longwy) et financières au milieu des « barons du fer », des maîtres de forges du Nord de la Meurthe-et-Moselle, le « Pays-haut ». Il anime les Jeunesses patriotes de ce secteur de 1928 à 1932 (3 sections, à Longwy, Hussigny et Saulnes), a fondé un petit bulletin, le Rempart lorrain et un cours d'orateurs. Taittinger est venu à Longwy en mai 1931 pour un meeting. Ces sections sont cependant peu actives et comptent peu de militants : Jean-François Colas, Les droites nationales en Lorraine dans les années 1930: acteurs, organisations, réseaux, Thèse de doctorat, Université de Paris X-Nanterre, 2002, p. 30-31, 54,
Le siège de Documents est le même que celui du Bien public, 9, place d'Arcy à Dijon. Il s'agit de l'organe du Centre interdépartemental qui regroupe le comité d'action de la Côte-d'Or formé en 1927, le comité nivernais de propagande et de le comité d'action du canton de Chagny (Saône-et-Loire) (Documents, n° 7, 12 juin 1932). Ce petit mensuel paraît sur 4 pages et est publié en diverses éditions (sa "une" seule change en fonction des éditions), de la Nièvre, de l'Aube, de Lyon et de l'Ain (décembre 1932), de Bordeaux, de Rennes, de la Fédération française des cours de conférences et de documentation à partir de fin 1935 et celle du Bulletin des propagandistes républicains-nationaux, qui s'est greffé sur Documents à partir de février 1933 (Documents, n° 14, février 1933, n° 21, octobre 1933: 12 éditions). Le cours de conférenciers a lieu à Dijon dans la salle de rédaction du Bien public (Documents, n° 14, février 1933). Gillet a publié une brochure Mise en route et fonctionnement d'un comité de province, publié par L’Écho de Paris cf. La Gazette de Château-Gontier, 9 juillet 1939, Notice de la BNF, Nomenclature des journaux & revues en langue française du monde entier, 1937, L'Écho de Paris, 1er mars 1936, La Liberté, 24 juillet 1935, Le Progrès de la Côte-d’Or, 18 juin 1934, Courrier de Saône-et-Loire, 16 janvier 1933, La Croix, 28 avril 1927
Né à Lunéville le 6 janvier 1905, agent d’assurances à Raon-l’Étape depuis 1932, et président du syndicat d’initiatives de la vallée de la Celles, François-Brajon et Sadoul mènent la liste de droite aux municipales de 1935. François-Brajon est élu au premier tour et Sadoul au second. Emile Bergeron du CPRN et des JP a donné une conférence pour ce groupement en décembre 1934. François-Brajon s’est présenté aux cantonales de 1937 contre le radical-socialiste Charles Weill, sans succès. Il adhère à partir de 1936 au PSF et au PPF et travaille pour une officine patronale anticommuniste animée par l'industriel cotonnier Georges Laederich. Cf. Lucien Sabah, Une police politique de Vichy : le Service des sociétés secrètes, Klincksiek, 1996, p. 37 : audition de François-Brajon, 19-9-1945. Sous l'Occupation, il sera délégué régional aux sociétés secrètes et un délateur antisémite et sera condamné à 5 ans de travaux forcés en 1946: cf. Laurent Joly, "La délation antisémite sous l'Occupation", Vingtième siècle. Revue d'histoire, 2007/4 (no 96), Jean-François Colas, « Georges Laederich (1898-1969) : le combat d'un industriel vosgien contre le Front populaire et le communisme, 1934-1939 », dans les Annales de la Société d'émulation du département des Vosges, 2018, p. 65, 88, L'Est républicain, 8 octobre 1946, Ibid., 10 octobre 1946, François Moulin, Lorraine années noires. De la collaboration à l’épuration, La Nuée bleue, 2009
culture.gouv.fr
L'Echo de Paris, 25 mai 1927. Il est le président-fondateur (1919) de l'Union des combattants de l'air. Cf. son Dossier de la Légion d'honneur d'André Wateau sur la base Léonore (grand-croix en 1931) et L'Aérophile, 1er janvier 1921, "André Wateau" (biographie). Wateau, actif dans les associations de l'aéronautique (président de l'Aéroclub de France en 1934), général de réserve en mai 1940, sera désigné juge à la Cour suprême de justice en août 1940, et donc magistrat au Procès de Riom (Le dossier Rebatet, Robert Laffont, 2015 p. 429. Erreur d'orthographe sur le nom de Wateau). Après la Seconde Guerre mondiale, il anime avec les avocats du Maréchal Pétain un réseau informel qui vient en aide à Pétain: Jérôme Cotillon, Ce qu'il reste de Vichy, Armand Colin, 2003 (même erreur sur l'orthographe de son nom)
Né à Lunéville le 6 janvier 1905, agent d’assurances à Raon-l’Étape depuis 1932, et président du syndicat d’initiatives de la vallée de la Celles, François-Brajon et Sadoul mènent la liste de droite aux municipales de 1935. François-Brajon est élu au premier tour et Sadoul au second. Emile Bergeron du CPRN et des JP a donné une conférence pour ce groupement en décembre 1934. François-Brajon s’est présenté aux cantonales de 1937 contre le radical-socialiste Charles Weill, sans succès. Il adhère à partir de 1936 au PSF et au PPF et travaille pour une officine patronale anticommuniste animée par l'industriel cotonnier Georges Laederich. Cf. Lucien Sabah, Une police politique de Vichy : le Service des sociétés secrètes, Klincksiek, 1996, p. 37 : audition de François-Brajon, 19-9-1945. Sous l'Occupation, il sera délégué régional aux sociétés secrètes et un délateur antisémite et sera condamné à 5 ans de travaux forcés en 1946: cf. Laurent Joly, "La délation antisémite sous l'Occupation", Vingtième siècle. Revue d'histoire, 2007/4 (no 96), Jean-François Colas, « Georges Laederich (1898-1969) : le combat d'un industriel vosgien contre le Front populaire et le communisme, 1934-1939 », dans les Annales de la Société d'émulation du département des Vosges, 2018, p. 65, 88, L'Est républicain, 8 octobre 1946, Ibid., 10 octobre 1946, François Moulin, Lorraine années noires. De la collaboration à l’épuration, La Nuée bleue, 2009
openedition.org
books.openedition.org
Documents, édition de la Fédération des cours d'orateurs et de documentation, n° 4, février 1936 (n° 48 de Documents), Le Phare de la Loire, 2 mars 1939, L’Écho de Paris, 7 avril 1935. Il sera bâtonnier de l'ordre des avocats de Loire-Atlantique, président de l'Union nationale des avocats, président de 1955 à 1961 des fils des tués (orphelins de guerre) : site orphelins-de-guerre.fr, Serge Defois, Les avocats nantais au XXe siècle : Socio-histoire d'une profession, Presses universitaires de Rennes, 2007 (Lire en ligne)
orphelins-de-guerre.fr
Documents, édition de la Fédération des cours d'orateurs et de documentation, n° 4, février 1936 (n° 48 de Documents), Le Phare de la Loire, 2 mars 1939, L’Écho de Paris, 7 avril 1935. Il sera bâtonnier de l'ordre des avocats de Loire-Atlantique, président de l'Union nationale des avocats, président de 1955 à 1961 des fils des tués (orphelins de guerre) : site orphelins-de-guerre.fr, Serge Defois, Les avocats nantais au XXe siècle : Socio-histoire d'une profession, Presses universitaires de Rennes, 2007 (Lire en ligne)
persee.fr
Henri-Paul Dupont, dit Dupont-Huin, ancien avocat, né en 1885, président en 1925 de l'Union républicaine et nationale de l'arrondissement du Blanc, constituée en 1925: L'Indépendant du Berry, 28 mars 1925, Journal des débats, 11 décembre 1927, L'Alerte, octobre 1929, L'Ami du peuple, 12 décembre 1934, Le Jour, 2 décembre 1935, Le Petit bleu de Paris, 16 novembre 1938, Jean Goueffon, Le radicalisme entre la crise et le Front populaire : la première élection de Jean Zay (1932), dans la Revue d'histoire moderne et contemporaine, 1975, p. 648 (Lire en ligne), Jean Philippet, Le temps des ligues: Pierre Taittinger et les Jeunesses patriotes, 1919-1944, Volume 1, Presses universitaires du Septentrion, 2001, p. 320
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Le siège de Documents est le même que celui du Bien public, 9, place d'Arcy à Dijon. Il s'agit de l'organe du Centre interdépartemental qui regroupe le comité d'action de la Côte-d'Or formé en 1927, le comité nivernais de propagande et de le comité d'action du canton de Chagny (Saône-et-Loire) (Documents, n° 7, 12 juin 1932). Ce petit mensuel paraît sur 4 pages et est publié en diverses éditions (sa "une" seule change en fonction des éditions), de la Nièvre, de l'Aube, de Lyon et de l'Ain (décembre 1932), de Bordeaux, de Rennes, de la Fédération française des cours de conférences et de documentation à partir de fin 1935 et celle du Bulletin des propagandistes républicains-nationaux, qui s'est greffé sur Documents à partir de février 1933 (Documents, n° 14, février 1933, n° 21, octobre 1933: 12 éditions). Le cours de conférenciers a lieu à Dijon dans la salle de rédaction du Bien public (Documents, n° 14, février 1933). Gillet a publié une brochure Mise en route et fonctionnement d'un comité de province, publié par L’Écho de Paris cf. La Gazette de Château-Gontier, 9 juillet 1939, Notice de la BNF, Nomenclature des journaux & revues en langue française du monde entier, 1937, L'Écho de Paris, 1er mars 1936, La Liberté, 24 juillet 1935, Le Progrès de la Côte-d’Or, 18 juin 1934, Courrier de Saône-et-Loire, 16 janvier 1933, La Croix, 28 avril 1927
Henri-Paul Dupont, dit Dupont-Huin, ancien avocat, né en 1885, président en 1925 de l'Union républicaine et nationale de l'arrondissement du Blanc, constituée en 1925: L'Indépendant du Berry, 28 mars 1925, Journal des débats, 11 décembre 1927, L'Alerte, octobre 1929, L'Ami du peuple, 12 décembre 1934, Le Jour, 2 décembre 1935, Le Petit bleu de Paris, 16 novembre 1938, Jean Goueffon, Le radicalisme entre la crise et le Front populaire : la première élection de Jean Zay (1932), dans la Revue d'histoire moderne et contemporaine, 1975, p. 648 (Lire en ligne), Jean Philippet, Le temps des ligues: Pierre Taittinger et les Jeunesses patriotes, 1919-1944, Volume 1, Presses universitaires du Septentrion, 2001, p. 320
Documents, édition de la Fédération des cours d'orateurs et de documentation, n° 4, février 1936 (n° 48 de Documents), Le Phare de la Loire, 2 mars 1939, L’Écho de Paris, 7 avril 1935. Il sera bâtonnier de l'ordre des avocats de Loire-Atlantique, président de l'Union nationale des avocats, président de 1955 à 1961 des fils des tués (orphelins de guerre) : site orphelins-de-guerre.fr, Serge Defois, Les avocats nantais au XXe siècle : Socio-histoire d'une profession, Presses universitaires de Rennes, 2007 (Lire en ligne)
André Abbiateci, Le Front populaire dans l'Ain et à Bourg-en-Bresse: 1934-1937, Les Amis des Archives de l'Ain, 1989, p. 18. Il meurt en 1943 : La Croix, 26 août 1943