Selon Michel Refait, famille originellement de souche allemande qui apparaît dans les archives lorsque les deux frères Jean et Nicolas Moët, fils de Jean Leclerc l'échevin, sont anoblis par une lettre patente de Charles VII en 1446 (Refait 1998, p. 17). Cette origine noble n'est toutefois pas évoquée par Gustave Chaix d'Est-Ange dans Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 9, page 334 Chandon.