Ici, peut être la difficulté de concilier plusieurs traditions orales a-t-elle amené l'auteur à commettre une erreur logique. En effet, si Kriemhild accepte de coudre une marque sur les vêtements de Siegfried (904), il est précisé par la suite que celui-ci porte une tenue spécifique pour la chasse (952). Or, Hagen trouve pourtant la marque lors de l'assassinat (980). * (de) Marianne Wynn, Zur Bedeutung des Nibelungenliedes, in Das Nibelungenlied, Faculté de Lettres de Porto, , p. 10-11.
(de) Norbert Voorwinden, "Quid cantus rusticorum cum Ovidio?", in Das Nibelungenlied, Faculté de Lettres de Porto, 27 octobre 2000 [2]
(de) Marianne Wynn, "Zur Bedeutung des Nibelungenliedes", in Das Nibelungenlied, Faculté de Lettres de Porto, 27 octobre 2000, pp. 19-21. [8]
(de) Marianne Wynn, "Zur Bedeutung des Nibelungenliedes", in Das Nibelungenlied, Faculté de Lettres de Porto, 27 octobre 2000, pp. 14-15. [9]
vsnrweb-publications.org.uk
(en) [PDF] R. G. Finch, Brunhild and Siegfried, in Saga Book XVII, Viking Society for Northern Research, 1966-1969, p. 224-260.
wissen-im-netz.info
(de) Traduction de Karl Simrock du Rosengartenlied[22]
xbib.de
gedichte.xbib.de
Moritz Graf von Strachwitz, Das Nibelungenlied, Sigurd Schlangentödter, 1842.