« Sur une trame minimaliste, l'écrivain italien réussit un roman en demi-teintes assez ambitieux, entre le rire et l'angoisse », Baptiste Liger - Lire, mai 2008 - « Il ne s'agit pas d'un réalisme froid, mais d'un réalisme attentif au monde, sans jamais quitter la vie intérieure des personnages », René de Ceccatty dans Le Monde du 24 avril 2008 [2]
lepoint.fr
»Sur cette situation digne de Beckett, Sandro Veronesi construit un roman émouvant, ample, magistralement tissé : le mélange de l’intime dans ce qu’il a de plus vibrant et du réel dans ce qu’il a de plus dérangeant. » Présentation du roman par l'éditeur [1]