Scipion de Grimoard-Beauvoir, Analectabiblion: ou Extraits critiques de divers livres rares imprimé chez Techener en 1837, page 447. On y trouve qu'après s'être défendu vaillamment, son corps fut traîné nu, puis exposé sous les fenêtres du Louvre, les dames de la cour voulant vérifier de visu les causes de l'acharnement de la douairière de Soubise contre le baron du Pont. « Pour voir à quoy il pouvoit tenir, estant si beau et puissant gentilhomme, qu'il fust impuissant d'habiter avec les femmes. " ».
On retrouve trace de cette histoire dans les « Mémoires » du duc de Saint-Simon (Mémoires de Saint-Simon Tome 2 Chapitre IX Publiées en 1858.) et dans le journal de Pierre de L'Estoile (Journal publié par Michaud et Poujoulat chez Edouard Proux en 1837, page 26).
On retrouve trace de cette histoire dans les « Mémoires » du duc de Saint-Simon (Mémoires de Saint-Simon Tome 2 Chapitre IX Publiées en 1858.) et dans le journal de Pierre de L'Estoile (Journal publié par Michaud et Poujoulat chez Edouard Proux en 1837, page 26).