(es) Alberto de la Hera, Iglesia católica y regímenes autoritarios y democráticos : Experiencia española e italiana, Madrid, Edersa / Revista de Derecho Privado, (lire en ligne), « La actitud del Franquismo ante la Iglesia », p. 49-51 (ouvrage collectif, sous la direction de Iván C. Ibán).
cairn.info
Emmanuel-Pierre Guittet, « Les recours à l’état d’exception sous le régime franquiste (1956-1975) », Cultures et Conflits, Paris, L’Harmattan, no 113, , p. 13-14 (ISSN1777-5345, lire en ligne).
google.be
books.google.be
(es) Jean Testas, Les institutions espagnoles, Paris, PUF, coll. « Que sais-je ? », , 128 p. (lire en ligne), chap. 1596.
issn.org
portal.issn.org
Pour de plus amples détails sur l’évolution ultérieure de ce droit fondamental sous le franquisme, cf. Marie-Christine Moreau, « De la religion d'état à la laïcité. La transition espagnole, un tournant décisif - 1976-1981 », Hispanística XX, édité par Centre Interlangues Texte, Image, Langage, no 21, , p. 329-346 (ISSN0765-5681, lire en ligne).
Emmanuel-Pierre Guittet, « Les recours à l’état d’exception sous le régime franquiste (1956-1975) », Cultures et Conflits, Paris, L’Harmattan, no 113, , p. 13-14 (ISSN1777-5345, lire en ligne).
(es) Alfonso García-Valdecasas, « Los Estados totalitarios y el Estado español », Revista de Estudios Políticos, Madrid, Centro de Estudios Políticos y Constitucionales, no 5, , p. 5-32 (ISSN0048-7694, lire en ligne)
juntadeandalucia.es
Les premiers articles de la Loi 56/1961 stipulaient que « la Loi reconnaît à la femme les mêmes droits qu’à l’homme dans l’exercice de tout type d’activité politique, professionnelle ou de travail, sans autres limitations que celles définies dans la présente Loi » (article premier), que « la femme peut participer à l’élection et être élue en vue de remplir quelque charge publique que ce soit ; [qu’elle] peut de même être désignée à remplir n’importe quelle charge publique de l’État, de l’administration locale et d’organismes autonomes dépendant de l’une et de l’autre » (article deuxième), et surtout que « la femme pourra conclure tout type de contrat de travail, [et que] dans les réglementations du travail, dans les conventions collectives et dans les règlements d’entreprise aucune discrimination ne [pourra] être faite à raison du sexe et de l’état civil, même si ce dernier se modifie dans le cours de la relation de travail » (article quatrième) ; cependant, dans ce même article, il est ajouté que « les dispositions réglementaires définiront les travaux qui, par leur caractère pénible, dangereux ou insalubre, doivent être prohibés à la femme ». De même, s’il est énoncé que « les dispositions sur le travail reconnaîtront le principe d’égalité de rétribution des travaux de valeur égale », plus loin dans le texte sont évoquées les limitations auxdites dispositions « fondées sur des faits ou des circonstances naturelles d’une évidence telle qu’il est superflu et inutile de les justifier en détail », mais qui se rapportent à « l’impossibilité d’effectuer des travaux démesurés » requérant la force physique, et au « pouvoir de direction que la nature, la religion et l’histoire attribuent au mari », qui par voie de conséquence consacrent sa relégation au rôle d’épouse et de mère, avec la subséquente restriction mise à sa capacité de conclure des contrats. Cf. (es) « La ley sobre igualdad salarial : más de 50 años de incumplimiento », Séville, Junta de Andalucía / Consejería de Cultura y Patrimonio Histórico, .
Pour de plus amples détails sur l’évolution ultérieure de ce droit fondamental sous le franquisme, cf. Marie-Christine Moreau, « De la religion d'état à la laïcité. La transition espagnole, un tournant décisif - 1976-1981 », Hispanística XX, édité par Centre Interlangues Texte, Image, Langage, no 21, , p. 329-346 (ISSN0765-5681, lire en ligne).
(es) Alfonso García-Valdecasas, « Los Estados totalitarios y el Estado español », Revista de Estudios Políticos, Madrid, Centro de Estudios Políticos y Constitucionales, no 5, , p. 5-32 (ISSN0048-7694, lire en ligne)