Edmond Buron, Ymago Mundi, de Pierre d'Ailly, cardinal de Cambrai et chancelier de l'université de Paris (1350-1420) : texte latin et traduction française des quatre traités cosmographiques de d'Ailly et des notes marginales de Christophe Colomb, étude sur les sources de l'auteur, Maisonneuve frères éditeur, Paris, 1930, tome 2 (lire en ligne).
Georges de Morant, Annuaire de la noblesse de France et des maisons souveraines de l'Europe, Comte d'Angerville, (lire en ligne), p. 142.
En l'absence d'actes de baptêmes de Christophe Colomb, sa date et son lieu de naissance ont été longtemps discutés. Christophe Colomb a écrit dans son testament qu'il était originaire de Gênes. On sait que son père y a résidé dès 1439. Son père pourrait être originaire du village de Terrarossa, près de Gênes, ce qui pourrait expliquer qu'on l'ait appelé ainsi que son frère Colombus de Terra rubra. On n'est pas mieux renseigné sur l'année de sa naissance. Pour essayer de la préciser, Armand d'Avezac a essayé de recouper les informations données dans plusieurs documents (Année véritable de la naissance de Christophe Colomb et revue chronologique des principales époques de sa vie, Paris, 1873) et a proposé la fin de l'année 1446. Un acte retrouvé ultérieurement, datant du 31 octobre 1470, dit qu'il a alors plus de 19 ans et moins de 25 ans. Il serait donc né entre 1446 et 1451. On admet aujourd'hui qu'il est né un peu avant le 31 octobre 1451.
(en) Robin Santos Doak, Christopher Columbus : Explorer of the New World, Compass Point Books, , 112 p. (ISBN978-0-7565-1057-2, lire en ligne), p. 15.
(en) Clements R. Markham, Journal of Christopher Columbus, Cambridge University Press, , 344 p. (ISBN978-1-108-01284-3, lire en ligne), p. 122.
René Massoni, Christophe Colomb : Calvais, Corse, Génois, Nouvelles Éditions Latines, (lire en ligne), p. 207.
Ce traité interdit aux Espagnol la traite des esclaves (capture et transport). Au XVIe siècle, les Portugais ont un monopole de ce commerce considéré alors comme le plus lucratif« El error de Portugal en el Tratado de Tordesillas ». L'Union ibérique est de ce point de vue avantageuse pour les Espagnols. « Origine des esclaves », Université de Barcelone
Louis Salembier, « Pierre d'Ailly et la découverte de l'Amérique », dans Revue d'histoire de l'Église de France, 1912, no 16, p. 377-396(lire en ligne).
Herman Vander Linden, « Henry Vignaud. Le vrai Christophe Colomb et la légende » (compte-rendu), dans Revue belge de Philologie et d'Histoire, 1923, no 2-1, p. 135-137(lire en ligne).
Marcel Bataillon, « Les colons du Pérou contre Charles Quint : analyse du mouvement pizarriste (1544-1548) », Annales, , p. 479-494 (lire en ligne)
(en) Rasmus B. Anderson, John Bruno Hare, ed., February 18th, 2004, « Norse voyages in the tenth and following centuries », The Norse Discovery of America, (consulté le ) : « He remained there making explorations for three years and decided to found a colony there. ».
Ce traité interdit aux Espagnol la traite des esclaves (capture et transport). Au XVIe siècle, les Portugais ont un monopole de ce commerce considéré alors comme le plus lucratif« El error de Portugal en el Tratado de Tordesillas ». L'Union ibérique est de ce point de vue avantageuse pour les Espagnols. « Origine des esclaves », Université de Barcelone
ubu.es
riubu.ubu.es
Juan Cruz Monje Santillana, LAS LEYES DE BURGOSDE 1512,PRECEDENTE DEL DERECHOINTERNACIONALY DELRECONOCIMIENTO DE LOSDERECHOS HUMANOS (lire en ligne), « 3 SIGNIFICACIÓNDE LAS LEYES DE BURGOS »
ugr.es
editorial.ugr.es
Aurelia Martín Casares, La esclavitud en la Granada del siglo XVI: Género, raza y religión, Universidad de Granada, (ISBN978-84-3382-613-8, lire en ligne). Même si l'importation d'esclave est réduite à partir du XVIIe siècle, ne laissant que les esclaves « de ventre », l'abolition de l'esclavage dans la partie ibérique de l'Espagne date de 1837, dans les territoires ultramarins en 1860.
uh.edu
digitalhistory.uh.edu
Steven Mintz, « The Black Legend », in History Eras : Colonial Era, DigitalHistory.uh.edu.
Selon les termes de Max Weber, l'« encomienda » est une concession de type féodal. L'encomienda est une concession par la Couronne de droits économiques (seigneurie) et politiques (juridiction, commandement) sur des terres conquises sur les musulmans durant la Reconquista : ces terres deviennent des sortes de fiefs vassaux de la Couronne. Dans le cas américain, au début, l'encomienda ne comportait pas de la propriété sur les terres. Les encomiendas était un droit concédé au gré et à la volonté du roi comme une « concession royale » aux personnes méritantes pour qu'il fassent fructifier les tributs des aborigènes qui leur étaient assignés. Álvaro Acevedo Gutiérrez, « El proceso de hispanización del nororiente colombiano durante el siglo XVI », Universidad de la Rioja, , p. 235 (lire en ligne)
Œuvre réalisée en 1892 par le sculpteur Arturo Mélida(es), le cénotaphe est composé d'un sarcophage porté par quatre statues en bronze polychrome (quatre souverains qui figurent les 4 royaumes d'Espagne avec les armes de Castille, León, Navarre et Aragon) au visage d'albâtre.
wikisource.org
en.wikisource.org
Capitulaciones de Santa Fe : « almirante en todas aquellas islas y tierras firmes que por su mano o industria se descubriran o ganaran en las dichas Mares Oceanas para durante su vida, y después del muerto, a sus herederos e successores ».
Capitulaciones de Santa Fe : « que Vuestras Altezas fazen al dicho don Christoval su Visorey e Governador General en todas las dichas tierras firmes e yslas que como dicho es el descubriere o ganare en las dichas mares ».
Capitulaciones de Santa Fe : « de todas e qualesquiere mercadurias […], que se compraren, trocaren, fallaren, ganaren e hovieren dentro en los limites de dicho Almirantazgo, […] que haya e lieve para si la dezena parte de todo ello ».
Capitulaciones de Santa Fe : « haya e lieve del provecho la ochena parte de lo que resultare de la tal armada ».