Un chroniqueur anonyme, interviewé par L'Express raconte : « Quand on devient chroniqueur, on sait qu'on va servir de fusible en cas de baisse d'audience, parce que ça évite au producteur de remettre son concept en question. Et il n'y a pas de solidarité qui tienne. Les gens à l'antenne sont comme des Esquimaux : s'il y en a un qui tombe de la banquise, personne ne va l'aider (...) Les présentateurs ont peur qu'on prenne leur place, parce que c'est leur vie, ils ne savent rien faire d'autre. Donc, c'est la loi du plus fort qui prévaut et le chroniqueur perd toujours ». Source : « La vie rêvée, ou pas, des chroniqueurs télé », 2 novembre 2013.