Casimir Chevalier, Histoire abrégée de Chenonceau, Lyon, Éditions Alphonse Louis Perrin et Marinet, , 361 p. (lire en ligne), « La reine Louise et les créanciers de Catherine de Médicis », p. 254.
Casimir Chevalier, Histoire abrégée de Chenonceau, Lyon, Éditions Alphonse Louis Perrin et Marinet, , 361 p. (lire en ligne), « La duchesse de Mercœur et les huissiers », p. 256 à 262.
Casimir Chevalier, Histoire abrégée de Chenonceau, Lyon, Éditions Alphonse Louis Perrin et Marinet, , 361 p. (lire en ligne), « L'exil à Chenonceau », p. 263 à 269.
Casimir Chevalier, Histoire abrégée de Chenonceau, Lyon, Éditions Alphonse Louis Perrin et Marinet, , 361 p. (lire en ligne), chap. XX (« La maison de Vendôme et le prince de Condé »), p. 282 à 283.
Casimir Chevalier, Histoire abrégée de Chenonceau, Lyon, Éditions Alphonse Louis Perrin et Marinet, , 361 p. (lire en ligne), chap. XXII (« Travaux et acquisitions des Dupin 1733-1788 »), p. 309.
René Martineau, Promenades biographiques, Paris, Éditions Librairie de France, , 256 p. (lire en ligne), « Flaubert à Chenonceaux », p. 10.
Casimir Chevalier, Histoire abrégée de Chenonceau, Lyon, Éditions Alphonse Louis Perrin et Marinet, , 361 p. (lire en ligne), « L'exil à Chenonceau », p. 264
David de Penanrun (dir.) (préf. J.L. Pascal), Les architectes élèves de l'École des beaux-arts, 1793-1907, Paris, Éditions de la Librairie de la construction moderne, , 508 p. (lire en ligne), p. 172.
Emmanuel Bénézit (dir.), Dictionnaire critique et documentaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs & graveurs de tous les temps et de tous les pays, vol. 1, Paris, Éditions Ernest Gründ, , 1068 p. (lire en ligne), p. 448.
Casimir Chevalier (dir.), Le château de Chenonceau : notice historique, Tours, Éditions Paul Bousrez, , 5e éd., 96 p. (lire en ligne), chap. 2 (« La famille Marques »), p. 17.
Jean Pierre Monpellier est né à Paris en 1761 et il demeure successivement rue de Viarmes, puis rue de Sartine (sources : Archives nationales). Il est un élève de Lemoine et il expose au Salon en 1798 (voir : « Salon de 1798 au Muséum central des Arts », sur Bibliothèque nationale de France). Il est chargé par la famille Vallet de Villeneuve de la sculpture du tombeau de Madame Dupin en 1802 et fait la connaissance à ce moment-là du médecin Pierre Bretonneau (voir : Bretonneau. Correspondance d'un médecin – Tome 1 : de la formation à la pratique (1795-1819) de Marie Boissière, pages 267 et 268). Jean Pierre Monpellier travaille également sur l'Arc de triomphe du Carrousel et il exécute six bas-reliefs représentant des trophées. En 1804, il sculpte le buste de l'archi-chancelier de l'Empire, Jean-Jacques-Régis de Cambacérès (lire : « Empire français », sur Retronews).
Gaston de Villeneuve-Guibert, Le portefeuille de madame Dupin : Dame de Chenonceaux, Paris, Éditions Calmann-Lévy, , 606 p. (lire en ligne), « Madame Dupin », p. 33.
Michel Laurencin (ill. Georges Pons), Dictionnaire biographique de Touraine, Chambray-lès-Tours, Éditions C.L.D., , 632 p. (ISBN978-2-85443-210-7, BNF35287344), « Pierre-Fidèle Bretonneau », p. 126 (Madame Dupin et Marie-Thérèse Adam).
Antoine-Alexandre Barbier, Dictionnaire des ouvrages anonymes et pseudonymes, vol. 2, Imprimerie Bibliographique (Paris), , 678 p. (lire en ligne), p. 136.
Château de Chenonceau : le jardin idéal de Russell Page voit enfin le jour. France Info, 6 juin 2018. Lire en ligne.
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Sabine Albertini, François-Xavier Brabant-Pelletier, Mathias Clamens et Pierre Guitton, Châteaux de la Loire, Paris, Éditions Gallimard, coll. « GEOGuide France, Gallimard Loisirs », (réimpr. 2018) (1re éd. 2009), 640 p. (ISBN978-2-74244-976-7, présentation en ligne, lire en ligne), « Château de Chenonceau ».
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Nicolas François Bellart (préf. Bergeron-D'Anguy), Œuvres de N. F. Bellart : Procureur-général à la cour royale de Paris, t. 1, Paris, J.L.J. Brière libraire-éditeur, , 484 p. (lire en ligne), « Plaidoyer pour la famille Dupin contre la tutrice de la mineure Saint-Aubin », p. 383 à 428.
Sabine Albertini, François-Xavier Brabant-Pelletier, Mathias Clamens et Pierre Guitton, Châteaux de la Loire, Paris, Éditions Gallimard, coll. « GEOGuide France, Gallimard Loisirs », (réimpr. 2018) (1re éd. 2009), 640 p. (ISBN978-2-74244-976-7, présentation en ligne, lire en ligne), « Château de Chenonceau ».
histoire-pour-tous.fr
Jonathan Perrin, « Expo : Rousseau heureux à Chenonceau », Histoire pour tous, (lire en ligne)
Olivier Pouvreau, « Ces tableaux de la guerre rendus à leurs propriétaires », La Nouvelle République du Centre-Ouest, (lire en ligne). Article relatif à la restitution par l'État français d'un tableau de Franz Karl Palcko conservé au Musée des Beaux-Arts de Tours au petit-fils du collectionneur autrichien Richard Neumann.
L'année 1782, généralement admise, n'est pas correcte. Émile Aron de l'Académie de Touraine, mentionne le , comme date d'emménagement définitif de Mme Dupin à Chenonceau. Consulter à ce propos le document PDF : « Bretonneau et sa légende ».
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Y. V. (photogr. Guillaume Souvant), « Les châteaux de la Loire victimes des crues », Paris Match, Paris, (lire en ligne).
Jean Pierre Monpellier est né à Paris en 1761 et il demeure successivement rue de Viarmes, puis rue de Sartine (sources : Archives nationales). Il est un élève de Lemoine et il expose au Salon en 1798 (voir : « Salon de 1798 au Muséum central des Arts », sur Bibliothèque nationale de France). Il est chargé par la famille Vallet de Villeneuve de la sculpture du tombeau de Madame Dupin en 1802 et fait la connaissance à ce moment-là du médecin Pierre Bretonneau (voir : Bretonneau. Correspondance d'un médecin – Tome 1 : de la formation à la pratique (1795-1819) de Marie Boissière, pages 267 et 268). Jean Pierre Monpellier travaille également sur l'Arc de triomphe du Carrousel et il exécute six bas-reliefs représentant des trophées. En 1804, il sculpte le buste de l'archi-chancelier de l'Empire, Jean-Jacques-Régis de Cambacérès (lire : « Empire français », sur Retronews).
Jean Buon, Michelle Perrot, Madame Dupin : Une féministe à Chenonceau au siècle des Lumières, Joué-lès-Tours, Éditions La Simarre, , 224 p. (présentation en ligne), « La Révolution, la préservation de Chenonceau », p. 112.