Léopold-Ferdinand-Désiré Riel, Inventaire historique des actes transcrits aux insinuations ecclésiastiques de l’ancien diocèse de Lisieux : ou documents officiels analyses pour servir à l’histoire du personnel de l’évêché, de la cathédrale, etc., ainsi que de toutes les familles notables de ce diocèse (1692-1790), t. 5, Lisieux, E. Lerebour, , 968 p. (lire en ligne), p. 342.
cegetel.net
lohoujos.perso.cegetel.net
Procès-verbal de recherche : « En 1796, la nouvelle administration du canton conduite par le citoyen Joseph Even effectua une recherche des prêtres réfractaires ».
cg72.fr
[2] Voir aussi : Cultes et clergé dans le département de la Sarthe sous la Révolution : Actes de baptême, mariage et sépulture rédigés par Jean Joseph Glatier, prêtre réfractaire et vicaire de la paroisse Saint-Martin de Précigné.
Jean Castex, L'Église de France et la Révolution, 1984 [lire en ligne].
Geneviève Lecuir-Nemo, Anne-Marie Javouhey, fondatrice de la congrégation des sœurs de Saint-Joseph de Cluny, pages 22-24 [lire en ligne].
Le maître du curé d'Ars, Charles Balley (1751-1817). Paul Vial et Notice biographique dans : Jean-Marie Mayeur, Xavier de Montclos, Dictionnaire du monde religieux dans la France contemporaine, volume 6 [lire en ligne].
Source et Récit détaillé [3] : Abbé Frédéric Le Tallec et abbé Meriadec Henrio, Locoal-Mendon, l'île du bonheur, 1994. Texte cité avec autorisation du site internet.
Pendant la Terreur, un « recteur » (curé) de La Feuillée, l'abbé Le Bis, se réfugia pour échapper à la répression de la Terreur pendant près de deux ans près de Lesven en Beuzec-Cap-Sizun, dans le Sud du Finistère, dans une caverne connue sous le nom de Kougon ar C'houlmic (« grotte de la colombe »), d'accès très difficile, désormais appelée aussi Toull an Aotrou Bis (« le trou de Monsieur Bis ») Ma Bro, Ar Chap. Prêtres réfractaires ; la grotte de la colombe.