« Sélectionné au Festival de Cannes en 2001, Clément, le premier long métrage d’Emmanuelle Bercot, n’est sorti en salles qu’en 2003. Parce que cette cinéaste qui ne crée pas "dans le sens de la normalité, de la conformité" a mis deux ans à accepter les coupes que lui imposaient ses producteurs, Telfrance et Arte. Le film dépeignait une relation amoureuse entre une femme de 30 ans et un jeune garçon de 13 ans. Elle a compris que si elle n’ôtait pas deux scènes d’amour entre la jeune femme et son partenaire, "par crainte d’attaques d’associations familiales extrémistes", son film resterait sur une étagère. La suspicion de pédophilie est l’un des critères de blocage.. »sur le site Martinwinckler.com citant un article de Jean-Luc Douin, Le Monde 12 mai 2004.
« Sélectionné au Festival de Cannes en 2001, Clément, le premier long métrage d’Emmanuelle Bercot, n’est sorti en salles qu’en 2003. Parce que cette cinéaste qui ne crée pas "dans le sens de la normalité, de la conformité" a mis deux ans à accepter les coupes que lui imposaient ses producteurs, Telfrance et Arte. Le film dépeignait une relation amoureuse entre une femme de 30 ans et un jeune garçon de 13 ans. Elle a compris que si elle n’ôtait pas deux scènes d’amour entre la jeune femme et son partenaire, "par crainte d’attaques d’associations familiales extrémistes", son film resterait sur une étagère. La suspicion de pédophilie est l’un des critères de blocage.. »sur le site Martinwinckler.com citant un article de Jean-Luc Douin, Le Monde 12 mai 2004.