La thèse de la copie du manuscrit en Italie défendue jadis, notamment par H.J. White, "The Codex Amiatinus and its Birthplace", in : Studia biblica et ecclesiastica Essays chiefly in biblical and patristic Criticism, vol. 2, Oxford, Clarendon Press, 1890, p. 273-308[1] est abandonnée par la critique paléographique contemporaine, cf. Jean Vezin, "Ecritures imitées dans les livres et les documents du Haut Moyen Âge (VIIe – XIe siècle)", Bibliothèque de l'Ecole des chartes, t. 165, 2007, p. 47-66, ici p. 51-52. [2].
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(en) Richard Marsden, The Text of the Old Testament in Anglo-Saxon England (lire en ligne), « The Codex Amiatinus, a sister pandect and the Bibles at Vivarium », p. 106-120
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La thèse de la copie du manuscrit en Italie défendue jadis, notamment par H.J. White, "The Codex Amiatinus and its Birthplace", in : Studia biblica et ecclesiastica Essays chiefly in biblical and patristic Criticism, vol. 2, Oxford, Clarendon Press, 1890, p. 273-308[1] est abandonnée par la critique paléographique contemporaine, cf. Jean Vezin, "Ecritures imitées dans les livres et les documents du Haut Moyen Âge (VIIe – XIe siècle)", Bibliothèque de l'Ecole des chartes, t. 165, 2007, p. 47-66, ici p. 51-52. [2].