Nicole G. Albert, « De la topographie invisible à l'espace public et littéraire :les lieux de plaisir lesbien dans le Paris de la Belle Époque », Revue d’histoire moderne & contemporaine, vol. 4, nos 53-4, , p. 87-105 (lire en ligne)
L'accession de Colette aux grades successifs de la Légion d'honneur ne fut pas sans provoquer des remous, comme en témoignent les échanges de courriers produits sur la base Léonore.
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Karine Grandpierre, « ELLE : un outil d’émancipation de la femme entre journalisme et littérature 1945-1960 ? », COnTEXTES. Revue de sociologie de la littérature, no 11, , p. 13 (ISSN1783-094X, DOI10.4000/contextes.5399, lire en ligne, consulté le )
L'inauguration de la statue intitulée « Le visage humain fut toujours mon grand paysage » (une citation extraite de l'un de ses ouvrages), haute de 3,50 mètres, a lieu sur le parvis de la gare Viotte en présence de la maire de Besançon Anne Vignot, à une date symbolique de la journée internationale des femmes et du 150e anniversaire de l'écrivaine. Le projet d'hommage à Colette est une commande de la ville de Besançon où elle a passé ses étés dans sa résidence des Montboucons de 1901 à 1905. L'œuvre en résine blanc mat, de la sculptrice Nathalie Talec, évoque l'écrivaine, à travers le buste d'une jeune fille au visage juvénile, les yeux fermés. « Les motifs du foulard (des tampons de passeport) évoquent son appétence pour les voyages. Et le chat, posé sur l’épaule de la sculpture, peut tout aussi bien représenter le propre félin de l’écrivaine (Kiki-la-doucette) que son goût pour les animaux en général ». Cf Arnaud Castagné, « Besançon : un buste pour rendre hommage à la romancière Colette », sur estrepublicain.fr, .
Karine Grandpierre, « ELLE : un outil d’émancipation de la femme entre journalisme et littérature 1945-1960 ? », COnTEXTES. Revue de sociologie de la littérature, no 11, , p. 13 (ISSN1783-094X, DOI10.4000/contextes.5399, lire en ligne, consulté le )
L'inauguration de la statue intitulée « Le visage humain fut toujours mon grand paysage » (une citation extraite de l'un de ses ouvrages), haute de 3,50 mètres, a lieu sur le parvis de la gare Viotte en présence de la maire de Besançon Anne Vignot, à une date symbolique de la journée internationale des femmes et du 150e anniversaire de l'écrivaine. Le projet d'hommage à Colette est une commande de la ville de Besançon où elle a passé ses étés dans sa résidence des Montboucons de 1901 à 1905. L'œuvre en résine blanc mat, de la sculptrice Nathalie Talec, évoque l'écrivaine, à travers le buste d'une jeune fille au visage juvénile, les yeux fermés. « Les motifs du foulard (des tampons de passeport) évoquent son appétence pour les voyages. Et le chat, posé sur l’épaule de la sculpture, peut tout aussi bien représenter le propre félin de l’écrivaine (Kiki-la-doucette) que son goût pour les animaux en général ». Cf Arnaud Castagné, « Besançon : un buste pour rendre hommage à la romancière Colette », sur estrepublicain.fr, .
Karine Grandpierre, « ELLE : un outil d’émancipation de la femme entre journalisme et littérature 1945-1960 ? », COnTEXTES. Revue de sociologie de la littérature, no 11, , p. 13 (ISSN1783-094X, DOI10.4000/contextes.5399, lire en ligne, consulté le )
books.openedition.org
Julia Kristeva, « De Claudine à Sido : Colette ou la chair du monde », dans Notre Colette, Presses universitaires de Rennes, coll. « Interférences », (ISBN978-2-7535-4612-7, lire en ligne), p. 39–49
Natalia Boyarskaya (traduction de Arnaud Nicod-Clément), « À la recherche de Claudine ou le libertinage démoniaque », Études de Lettres, Université de Lausanne, 2009 (lire en ligne).