voir par exemple le débat autour du discours de Nicolas Sarkozy à Dakar en juillet 2007Le colonisateur est venu, il a pris, il s'est servi, il a exploité, il a pillé des ressources, des richesses qui ne lui appartenaient pas. Il a dépouillé le colonisé de sa personnalité, de sa liberté, de sa terre, du fruit de son travail.
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Pour le dictionnaire Le Robert, le colonialisme est une « doctrine qui vise à légitimer l'occupation d'un territoire ou d'un État, sa domination politique et son exploitation économique par un État étranger » tandis que, pour le Petit Larousse, c'est un « système politique préconisant la mise en valeur et l'exploitation du territoire dans l'intérêt du pays colonisateur »[1][2].
Selon Margaret Kohn, dans L'encyclopédie de philosophie de Stanford, 2006, « Le colonialisme est une pratique de domination qui met en jeu la domination d'un peuple par un autre ».
Voir également Margaret Kohn sur les difficultés de définition de la notion, notamment de sa parenté avec l'impérialisme, et de son évolution au cours de l'histoire.
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Romain Landmeters, « Comment le passé colonial est-il enseigné à l'école ? Decolonize Now ! La décolonisation et la mémoire coloniale en débat. Un cycle de débats à Bruxelles (Bruxelles) », Communication à un colloque, (lire en ligne, consulté le )
Pour le dictionnaire Le Robert, le colonialisme est une « doctrine qui vise à légitimer l'occupation d'un territoire ou d'un État, sa domination politique et son exploitation économique par un État étranger » tandis que, pour le Petit Larousse, c'est un « système politique préconisant la mise en valeur et l'exploitation du territoire dans l'intérêt du pays colonisateur »[1][2].