Selon Casanova, il s’agissait d’une fausse disgrâce montée par Choiseul pour l’envoyer espionner les Anglais, mais Lord Halifax ne s’est pas laissé prendre à ce stratagème. Voir (en) Giovanni Giacomo Casanova (trad. Willard R. Trask), History of My Life, t. 7, Paris, JHU Press, , 704 p. (ISBN978-0-8018-5665-5, lire en ligne), p. 7.
(en) Raphael Patai, The Jewish Alchemists : a history and source book, Princeton University Press, , 634 p. (ISBN978-1-4008-6366-2, lire en ligne), p. 469.
(en) Manly Palmer Hall, Comte de St. Germain, Philosophical Research Society, , 2e éd., 46 p. (lire en ligne), p. 31.
Jean Clogenson dans une note des Œuvres complètes de Voltaire avec des remarques et des notes historiques, scientifiques et littéraires sur Google Livres écrit de lui : « Le comte de Saint-Germain, aventurier qui, selon le roi de Prusse, n'était qu'un conte pour rire. Il se donnait pour immortel, disent les éditeurs de Kehl. Il avait assisté Jésus-Christ au Calvaire, et s'était trouvé au concile de Trente. Il vivait moitié aux dépens des dupes qui le croyaient un adepte, moitié aux dépens des ministres qui l'employaient comme espion. Il dit un jour à Louis XV que, pour estimer les hommes, il ne faut être ni confesseur, ni ministre, ni lieutenant de police. »
(en) Marsha Keith Schuchard, Emanuel Swedenborg, Secret Agent on Earth and in Heaven : Jacobites, Jews and Freemasons in Early Modern Sweden, Leyde ; Boston, BRILL, , xviii, 804 (ISBN978-90-04-21419-4, lire en ligne), p. 548.
Ma reine infortunée... Souvenirs de la comtesse d'Adhémar, éd. Plon 2006, p. 103 et 159. Voir également l'édition originale de 1836 sur Google Livres, t. 2, p. 54-73.
« Dalida : la douleur secrète », Paris Match, (lire en ligne, consulté le ).
« Dalida, l'amour à mort », Paris Match, (lire en ligne, consulté le ).
telestar.fr
« Dalida : qui furent les hommes de sa vie ? [Photos] », Telestar.fr, (lire en ligne, consulté le ).
wikisource.org
en.wikisource.org
(en) The Humbugs of the World (1866), par P. T. Barnum, chapitre 42 : « The Marquis de Crequy declares that St. Germain was an Alsatian Jew, Simon Wolff by name, and born at Strasburg about the close of the seventeenth or the beginning of the eighteenth century. »Wikisource