Concile de Nîmes (French Wikipedia)

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bnf.fr

gallica.bnf.fr

  • Louis Duchesne, Fastes épiscopaux de l'ancienne Gaule. Provinces du Sud-Est (tome premier), vol. 3, Paris, Thorin et fils, , 356 p. (lire en ligne), p. 346.

google.fr

books.google.fr

  • Jean-Rémy Palanque (sous la direction de), Le diocèse d’Aix en Provence, Paris, Éditions Beauchesne, Coll. « Histoire des diocèses de France », 1975, page 13 (présentation en ligne)
    Jean-Remy Palanque évoque un Triferius, probablement le Toeferius relevé par Louis Duchesne. Ce Triferius / Toeferius est dit évêque d'Aix-en-Provence et comme Ingenuus d'Arles, félicien.
  • Jean-Rémy Palanque (sous la direction de) - Le diocèse d’Aix en Provence - Paris, Éditions Beauchesne - Collection, Histoire des diocèses de France - 1975 - page 13, ici :
    Ceux de la majorité, qui, par opportunisme, faiblesse ou ignorance, avaient reconnu Félix de Trèves (les « féliciens ») se rassemblèrent plusieurs fois en conciles, dont celui de Nîmes en 394, qui ne réussit pas à « effacer les scandales et guérir les discordes » comme il se le proposait : parmi eux l’on trouve Ingenuus d’Arles et Triferius d’Aix, qui devaient donc être féficiens, alors que Proculus de Marseille et Simplicius de Vienne n’y ont pas siégé.
  • André PelletierVienna – page 163 ici :
    À la fin du siècle, au concile de Nîmes (396) vingt-et-un évêques sont présents, mais il y a des absents (combien ?), comme l’évêque de Vienne.
  • Jean-Rémy Palanque (sous la direction de) - Le diocèse d’Aix en Provence - Paris, Éditions Beauchesne - Collection, Histoire des diocèses de France - 1975 - page 13, ici :
    Ceux de la majorité, qui, par opportunisme, faiblesse ou ignorance, avaient reconnu Félix de Trèves (les « féliciens ») se rassemblèrent plusieurs fois en conciles, dont celui de Nîmes en 394, qui ne réussit pas à « effacer les scandales et guérir les discordes » comme il se le proposait : parmi eux l’on trouve Ingenuus d’Arles et Triferius d’Aix, qui devaient donc être féficiens,
  • Jean-Rémy Palanque (sous la direction de) - Le diocèse d’Aix en Provence - Paris, Éditions Beauchesne - Collection, Histoire des diocèses de France - 1975 - page 13, ici :
    Ceux de la majorité, qui, par opportunisme, faiblesse ou ignorance, avaient reconnu Félix de Trèves (les « féliciens ») se rassemblèrent plusieurs fois en conciles, dont celui de Nîmes en 394, qui ne réussit pas à « effacer les scandales et guérir les discordes » comme il se le proposait.

persee.fr

  • Les évêques réunis à Trêves avaient ordonné évêque de cette ville un saint homme nommé Félix. Le parti des évêques qui avaient causé la mort des hérétiques en prit le nom de félicien, ou, du nom du moins recommandable de ces prélats, celui d'ithacien. Saint Ambroise et le pape Sirice lui-même, d'après la tradition, auraient refusé de reconnaître pour valable une ordination faite par des consécrateurs indignes, et traité en schismatiques les féliciens ou ithaciens. D’autres historiens, comme Ernest-Charles Babut, soutiennent le contraire : il n'y a pas eu de schisme félicien, mais un schisme « antifélicien », et ceux qui se mettaient ainsi en dehors de la grande Église, ce sont précisément Martin, Sulpice Sévère et autres partisans de cet ascétisme outrancier que l'on reprochait à Priscillien. Et ils précisent que si Martin ne fut pas condamné à Trêves, il ne s'en fallut pas de beaucoup, et ce fut uniquement parce qu'il avait donné un gage en assistant à l'ordination de Félix. De plus il n'était plus un évêque comme les autres : d’après Aigrain René (p. 279), Martin ne pouvait plus assister aux conciles.