Décision no 62-18 L du (Loi d'orientation agricole) : « Considérant, d'une part, qu'aux termes de l'article 62 in fine de la Constitution : « les décisions du Conseil constitutionnel s'imposent aux pouvoirs publics et à toutes les autorités administratives et juridictionnelles » ; que l'autorité des décisions visées par cette disposition s'attache non seulement à leur dispositif mais aussi aux motifs qui en sont le soutien nécessaire et en constituent le fondement même »
CC, décision no 87-1026 du : « 1. Considérant que la demande de M. Georges Salvan tend à la rectification de l'un des visas de la décision du Conseil constitutionnel no 86-986/1006/1015 en date du portant la mention que la commune de Rabastens est située dans le département de Tarn-et-Garonne alors qu'elle se trouve dans celui du Tarn ;
2. Considérant que cette demande, qui tend exclusivement à la rectification d'une erreur matérielle non imputable au requérant, ne met pas en cause l'autorité de la chose jugée par le Conseil constitutionnel et n'est dès lors pas contraire aux dispositions de l'article 62 de la Constitution ;
3. Considérant, dans ces conditions, qu'il y a lieu de procéder à la rectification de l'erreur contenue dans la décision ci-dessus mentionnée »
Jacques ARRIGHI de CASANOVA, « Le juge des actes préparatoires à l'élection », Nouveaux Cahiers du Conseil constitutionnel, no 41, (lire en ligne)
Marc Guillaume, « Question prioritaire de constitutionnalité et Convention européenne des droits de l'homme », Nouveaux cahiers du Conseil constitutionnel, (lire en ligne)
Dossier de la décision no 2004-505 (site du Conseil constitutionnel) : le Conseil répond à la « question de savoir si l'autorisation de ratifier le traité établissant une Constitution pour l'Europe, signé à Rome le même jour, doit être précédée d'une révision de la Constitution ».
Thomas Hochmann, « Motivation et justice constitutionnelle : Le modèle allemand », Les Nouveaux cahiers du Conseil constitutionnel, (lire en ligne)
Michel Fromont, « Présentation de la Cour constitutionnelle fédérale d'Allemagne », Cahiers du Conseil constitutionnel, (lire en ligne).
Article 4 du règlement intérieur sur la procédure suivie devant le Conseil constitutionnel pour les questions prioritaires de constitutionnalité, lire en ligne.
Cette proportion a été estimée par le secrétariat général du gouvernement, cité par Bernard Carayon, [PDF] « À armes égales », rapport au Premier ministre, , p. 29.
leclubdesjuristes.com
think-tank.leclubdesjuristes.com
Denys de Béchillon, « Réflexions sur le statut des « portes étroites » devant le Conseil constitutionnel », Les notes des juristes, (lire en ligne).
Ordonnance du 7 novembre 1958 portant loi organique sur le Conseil constitutionnel, article 3 : « Avant d'entrer en fonction, les membres nommés du Conseil constitutionnel prêtent serment devant le président de la République. Ils jurent de bien et fidèlement remplir leurs fonctions, de les exercer en toute impartialité dans le respect de la Constitution et de garder le secret des délibérations et des votes et de ne prendre aucune position publique, de ne donner aucune consultation sur les questions relevant de la compétence du Conseil… Acte est dressé de la prestation de serment. » (source : Légifrance).
« Le régime d’indemnité des membres du Conseil constitutionnel n’est pas conforme au droit », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le ).
leparisien.fr
« Laurent Fabius, le cumul qui passe mal », sur leparisien.fr, : « Pour les écarter, les conseillers se sont appuyés sur deux textes. D'abord, l'ordonnance de 1958 qui a prévu des incompatibilités afin d'éviter tout conflit d'intérêts ».
« Le billet de Thomas Legrand – On peut regretter la décision du Conseil constitutionnel sans l’accuser d’avoir fait de la politique », Libération, 17 avril 2023 à 7h45 (lire en ligne)
François Borella, « Le projet de constitution », Esprit, no 1958 (9), , p. 275 (lire en ligne)
revuedlf.com
Thomas Hochmann, « Et si le Conseil constitutionnel était une « cour constitutionnelle de référence » ? », Revue des droits et libertés fondamentaux, (lire en ligne)
Antoine Faye, Les bases administratives du droit constitutionnel français : Recherche sur la culture administrative du droit constitutionnel français, Institut universitaire Varenne, , 596 p. (ISBN978-2-37032-139-8, lire en ligne), p. 375
Antoine Faye, Les bases administratives du droit constitutionnel français : Recherche sur la culture administrative du droit constitutionnel français, Institut universitaire Varenne, , 596 p. (ISBN978-2-37032-139-8, lire en ligne), p. 364-369