Conserve de sardines à l'huile (French Wikipedia)

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  • Cette usine, située dans le secteur industriel du port de Nantes (rue des Salorges) a été rachetée en 1923 par les frères Louis et Maurice Amieux, dans le but d’y créer un musée rétrospectif de la conserve (lire Sylvette Denèfle, Identités et économies régionales, L’Harmattan, Paris, 1992, 398 p. (ISBN 2-7384-1405-2), p. 79) ; le musée, créé en 1928, offert à la ville en 1934 et qui traitait finalement des activités portuaires, industrielles et commerciales de Nantes, a été transféré au château des ducs de Bretagne dans les années 1950 à la suite de la destruction de l’ancienne usine par les bombardements de 1943, selon les informations figurant sur le site du Château.

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  • Pascal Brioist et Jean-Christophe Fichou, « La sardine à l’huile ou le premier aliment industriel », Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, nos 119-4,‎ , p. 69–80 (ISSN 0399-0826 et 2108-6443, DOI 10.4000/abpo.2493, lire en ligne, consulté le )
  • Jean-Christophe Fichou, « La grande guerre et les conserveurs de sardines », Guerres mondiales et conflits contemporains, vol. 219, no 3,‎ , p. 71 (ISSN 0984-2292 et 2101-0137, DOI 10.3917/gmcc.219.0071, lire en ligne, consulté le )
  • « Dans ces usines, le travail n’est pas régulier : on ne sait jamais quand il commence ou quand il finit dans l’année. À plusieurs journées chômées succèdent de longues journées de travail de 16 à 18 heures. On travaille très tôt le matin ou tard dans la nuit. Toutes les filles se plaignent de l’attente, des fatigues du travail nocturne, des heures supplémentaires non rémunérées7. Dans tous les cas, la sardine commande. Les conserveurs ont donc besoin d’une population ouvrière peu rémunérée et qui se satisfait de l’instabilité des conditions de travail. Et qui répond le mieux à ces critères, sinon des jeunes filles que les tâches ménagères, conjugales et maternelles, n’appellent pas dans leurs foyers à heures fixes ». Cf Jean-Christophe Fichou, « Les syndicats ouvriers des filles de la conserve de poisson en Bretagne 1905-1914/ », Annales de Bretagne et des Pays de l’Ouest, vol. 117, no 2,‎ , p. 85-100 (DOI 10.4000/abpo.1772).

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