Jean Paul Tessier et Pierre Jousset, L'Art médical : journal de médecine générale et de médecine pratique, Au bureau du Journal, (lire en ligne), p. 224
« Quand la substance ainsi élevée en perfection appartient à la médecine, elle constitue le médicament spagyrique, forma pollens, non materia, qui, en raison du départ de ses impuretés, s'est affranchi de tout ce qui pouvait exister en lui de vénéneux ou acre, et ne se compose que des parties essentielles, balsamiques, au dire de l'école ; qui, en outre, sous le rapport de sa forme médicatrice, laisse bien loin derrière lui les produits pharmaceutiques. »
heidak.ch
(de) Arzneimittelbilder, Heidak (lire en ligne [PDF]), « Echter Beinwell, Symphytum officinale », p. 294
« Die anspruchslose Pflanze gedeiht gut auf stickstoffhaltigen Böden und liebt eher feuchte Standorte mit lehmigem Untergrund. Die Blätter haben einen vergleichsweise hohen Proteingehalt, weshalb sie früher zur Ernährung dienten. Allerdings finden sich in der Pflanze giftige Pyrrolizidinalkaloide, sodass diese Verwendung nicht ratsam ist. In der spagyri schen Essenz finden sich diese Stoffe nicht. »
« Cette plante peu exigeante [la consoude] se développe confortablement dans le cadre d’un biotope azoté ; elle affectionne les zones humides dotées d’un sol argileux. Les feuilles possèdent une teneur relativement élevée en protéines, raison pour laquelle elles constituaient autrefois un complément nutritionnel. Toutefois, la présence d’alcaloïdes pyrrolizidines toxiques dans la plante en exclut d’ordinaire d’emblée l’usage interne. En revanche, la préparation sous forme spagyrique permet d’en purifier les composants des constituants problématiques susnommés. »
(en) Richard W. Payne et Brian F. Savage, Department of Pathology, Worcester Royal Infirmary, « Vitamin B12 for vegans », British Medical Journal, , p. 458 (lire en ligne).