Après avoir réintégré Arius au sein de l'orthodoxie officielle et en avoir exclu son adversaire principal Athanase d'Alexandrie au concile de Tyr de 335, Constantin, bien que plus soucieux d'unité que de théologie et conseillé par l'influent évêque pro-arien Eusèbe de Nicomédie est baptisé par ce dernier sur son lit de mort ; cf. (en) Jonathan Bardill, Constantine, Divine Emperor of the Christian Golden Age, Cambridge University Press, , 440 p. (ISBN978-0-521-76423-0, lire en ligne), p. 297-299 et (en) Kevin Kaatz, Early Controversies and the Growth of Christianity, Praeger/ABC-CLIO, , 163 p. (ISBN978-0-313-38359-5, lire en ligne), p. 113