[Bruant & Touquet 2016] Jean Bruant et Régis Touquet, « Menhirs ou bornes leugaires ? Des mégalithes aux confins des territoires carnute, sénon et parisii à l'épreuve de l'analyse cartographique », dans C. Bessin, O. Blin & B. Triboulot (éds.), Franges urbaines et confins territoriaux. La Gaule dans l'Empire (actes du colloque de Versailles 29 février-3 mars 2012), Bordeaux, Ausonius, coll. « Mémoires », , 687 p., sur academia.edu (lire en ligne), p. 367-390 (p. 380).
Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
culture.gouv.fr
pop.culture.gouv.fr
À vérifier dans François Naudet, avec la collab. de Stéphane Ardouin, Alain Bénard et François Besse, L'Essonne, Paris, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 2004 (Carte archéologique de la Gaule : pré-inventaire archéologique, 91) (ISBN2-87754-086-3).
Mais aucune voie antique ni borne milliaire à Corbeil-Essonnes, voire toute inscription latine, ne sont mentionnés dans le Corpus Inscriptionum Latinarum [17]. Miliaria Imperii Romani, Pars secunda, Miliaria provinciarum Narbonensis Galliarum Germaniarum, éd. par Gerold Walser, Berlin, New York, Berlin-Brandenburgische Akademie der Wissenschaften, 1986, ou dans les autres corpus épigraphiques de textes latins.
Une voie antique existait entre Corbeil et Étampes, pour laquelle un menhir servait de borne leugaire ; cette voie a été en partie effacée par l'extension du domaine du château du Mesnil Voisin (Lardy), et son repérage n'a pas été poursuivi au-delà de ce point[48].
On note que la Borne royale à fleur de lys classée en 1934 (« Borne à fleur de lys n° 21 de Corbeil-Essonnes », notice no PA00087862, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture) est par erreur présentée comme borne milliaire par le site topic-topos, mais avec le numéro 30 (au 78 boulevard Jean-Jaurès).
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Jérôme Lemonnier, « Corbeil-Essonnes : le far-west essonnien : Trois élections municipales d’affilée, des informations judiciaires ouvertes contre MM. Dassault et Bechter, un climat démocratique local surréaliste : retour sur les cinq années les plus tumultueuses de la municipalité de Corbeil-Essonnes », Essonne Info, (lire en ligne, consulté le ).
Réélu en 2010 : AFP, « L'UMP Jean-Pierre Bechter réélu à la mairie de Corbeil-Essonnes : Le bras droit de Serge Dassault a remporté, dimanche, au second tour la municipale de Corbeil-Essonnes avec 53,71 % des suffrages », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
leparisien.fr
« Corbeil : Serge Dassault inéligible pour un an », Le Parisien, édition de l'Essonne, (lire en ligne, consulté le )« Le Conseil d'Etat a annoncé lundi matin l'annulation des élections municipales de Corbeil-Essonnes en mars 2008. Serge Dassault, sénateur-maire UMP et son principal opposant Bruno Piriou (PC) sont tous deux déclarés inéligibles pour un an. Le candidat PC, battu de 170 voix au deuxième tour, avait introduit un recours en annulation accusant le maire sortant d'avoir distribué de l'argent aux électeurs, faussant ainsi le scrutin. Dans sa décision, le Conseil d'Etat estime que si l'ampleur des dons d'argent dont est accusé M. Dassault ne peut être précisément déterminée, « ces faits ont été, eu égard à l'écart de voix, de nature à altérer la sincérité du scrutin et à en vicier les résultats » ».
Sébastien Morelli, « Mort de Serge Dassault : « Je l’appelais chef » : Jean-Pierre Bechter (LR) a succédé au milliardaire décédé lundi à la mairie de Corbeil-Essonnes en 2009. Celui qui connaissait l’industriel depuis 32 ans le raconte dans une interview », Le Parisien, édition de l'Essonne, (lire en ligne, consulté le ).
« Jean-Pierre Bechter (UMP) élu maire de Corbeil-Essonnes en conseil municipal », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le )« Les premiers mots du maire, qui avait remporté le second tour des municipales le 4 octobre avec seulement 27 voix d'avance sur son adversaire, le communiste Michel Nouaille, ont été en direction de Serge Dassault. « Si je suis ici, c'est grâce à vous », a-t-il déclaré à l'ancien premier magistrat de la ville, dont la présence en début de séance aux côtés du personnel administratif a été fortement critiquée par l'opposition ».
Réélu pour le mandat 2014-2020 : Marie D’ornellas, « Municipales à Corbeil-Essonnes : Serge Dassault savoure la victoire de son bras droit », Le Parisien, édition de l'Essonne - Municipales 2014, (lire en ligne, consulté le )« Jean-Pierre Bechter (UMP) a célébré dès 22 heures sa large victoire. L’édile est arrivé en tête avec 56,52 % des suffrages face à Bruno Piriou (PCF, 43,47 %), qui présentait une liste citoyenne et d’union de la gauche ».
Gérald Moruzzi, « Corbeil-Essonnes : un passage de relais en douceur entre Jean-Pierre Bechter et Bruno Piriou : Malgré plus de dix ans d’affrontement incessants entre les deux hommes, le conseil d'installation du nouveau maire Bruno Piriou (DVG) s'est déroulé sans heurts. Jean-Pierre Bechter, son prédécesseur qui ne siégera pas, a défendu son bilan. », Le Parisien, édition de Seine-Saint-Denis, (lire en ligne, consulté le )« Opiniâtre opposant à ce que beaucoup appellent le « système Dassault », Bruno Piriou [...] qui se donne pour ambitions « la vérité et la réconciliation », préfère annoncer sa feuille de route pour les six années à venir. Et elle est chargée. ».
Franck Johannes, « Dassault, dernier baroud contre les communistes. Délesté de ses trois colistiers FN, le gaulliste se présente pour la quatrième fois à Corbeil », Libération, (lire en ligne, consulté le ).
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
À vérifier dans François Naudet, avec la collab. de Stéphane Ardouin, Alain Bénard et François Besse, L'Essonne, Paris, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 2004 (Carte archéologique de la Gaule : pré-inventaire archéologique, 91) (ISBN2-87754-086-3).
Mais aucune voie antique ni borne milliaire à Corbeil-Essonnes, voire toute inscription latine, ne sont mentionnés dans le Corpus Inscriptionum Latinarum [17]. Miliaria Imperii Romani, Pars secunda, Miliaria provinciarum Narbonensis Galliarum Germaniarum, éd. par Gerold Walser, Berlin, New York, Berlin-Brandenburgische Akademie der Wissenschaften, 1986, ou dans les autres corpus épigraphiques de textes latins.
Une voie antique existait entre Corbeil et Étampes, pour laquelle un menhir servait de borne leugaire ; cette voie a été en partie effacée par l'extension du domaine du château du Mesnil Voisin (Lardy), et son repérage n'a pas été poursuivi au-delà de ce point[48].
On note que la Borne royale à fleur de lys classée en 1934 (« Borne à fleur de lys n° 21 de Corbeil-Essonnes », notice no PA00087862, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture) est par erreur présentée comme borne milliaire par le site topic-topos, mais avec le numéro 30 (au 78 boulevard Jean-Jaurès).