Amelle Nebia, « Le collector d'Evian 2011 sera signé Courrèges », Marques, sur e-marketing.fr, (consulté le ) : « Cette année, Evian s’est associé à un grand nom de la couture, Courrèges, pour cocréer sa nouvelle bouteille »
femmeactuelle.fr
Aurore Charlot, « Courrèges, chic et pas cher ! », Mode, sur femmeactuelle.fr, Prisma Media (consulté le ) : « Parmi les dix modèles bicolores blanc et rouge de la collection « Couture Future » de La Redoute, on retrouve la cultissime jupe trapèze légèrement restylisée »
« Le choc Courrèges », L'Officiel de la mode, Éditions Jalou, no 800, , p. 229 (ISSN0030-0403)« Courrèges est alors surnommé le Che Guevarra du frou-frou. Il vient de couper à vif dans les clichés de l'élégance et les chichis de la haute couture. »
Sophie Gachet, « Les lunettes de soleil Courrèges », Elle, no 3498, , p. 34 (ISSN0013-6298)« On a tous en tête les lunettes à fentes imaginées par André Courrèges en 1965. »
Katia D.Kaupp, « Le secret de Courrèges », Le Nouvel Observateur, , p. 14 (ISSN0029-4713)« Courrèges présentera une collection. Plus tard, quand il sera prêt. […] Courrèges, le premier, essaie de repenser toute la couture de fond en comble. […] il pourra travailler tranquillement. pas selon le rythme forcé de deux collections par an, mais selon le sien propre. Libéré des collections, […] il sortira sans se presser ses modèles. […] Courrèges en avait assez d'être copié. »
Mariella Righini, « Le retour d'André Courrèges : « Haute couture » et « couture future » », Le Nouvel Observateur, , p. 27 (ISSN0029-4713)
(en) Michael Gross, « Courrèges: new ventures, old optimism », The New York Times, , p. 18 (ISSN0362-4331)« But this week, when Courreges came to the French Embassy in New York to show Courreges Homme, his first ready-to-wear collection designed specifically for American men, he was always dressed entirely in pink. He wore an evening suit that blazed with pink sequins at his show. »
(en) « De Castelbajac leaving Courreges for his own line », WWD, no Issue 4, , p. 2 (ISSN0149-5380)« the decision of Jean-Charles de Castelbajac to resign as fashion designer for Andre Courreges' women's ready-to-wear collection in Paris. »
Sophie Gachet, « Marques françaises : actes de renaissance », Elle, no 3490, , p. 165 à 168 (ISSN0013-6298)
Hélène Guillaume, « Un printemps sous le signe des sixties », Style, sur lefigaro.fr, Madame Figaro, (consulté le ) : « Revival Courrèges, silhouette trapèze et longueur mini, les créateurs puisent dans l’esthétique des années yé-yé. […] chez Balenciaga ou Hussein Chalayan, dont les collections évoquent le mouvement futuriste d’André Courrèges, Pierre Cardin et Paco Rabanne. Comme Mugler et Montana dans les années 1980, cette référence est en fait une projection dans le futur […] fuselée et androgyne chez Nicolas Ghesquière pour Balenciaga ; expérimentale chez Hussein Chalayan »
Virginie Mouzat, « Courrèges ou l’art de se hâter lentement », Style, sur lefigaro.fr, Madame Figaro, (consulté le ) : « C’est en quelque sorte une histoire d’amour, pas une transaction financière que recherchait Coqueline Courrèges, épouse d’André, le fondateur, lorsqu’elle a vendu sa griffe aux deux hommes »
Olivier Saillard, « Le choc Mary Quant, l'effet Courrèges », sur lemonde.fr, Le Monde, (consulté le ) : « La rumeur veut que Mary Quant se soit procuré sa première minijupe à La Boutique des arts de Saint-Tropez avant d'en lancer la mode en Angleterre dès 1964. L'hypothèse selon laquelle la styliste anglaise aurait caricaturé ce qui frémissait déjà au-dessus du genou est plus probable. »
Françoise Chirot, « La compagnie Astorg reprend le couturier Courrèges », Archives, sur lemonde.fr, Le Monde, (consulté le ) : « La maison Courrèges revient dans le giron français. La Compagnie d'investissement Astorg a annoncé […] qu'elle rachetait […] Courrèges au japonais Itokin »
« Jean-Charles de Castelbajac renonce à sa collaboration. », Arhives, sur lemonde.fr, L Monde, (consulté le ) : « André Courrèges, […] tandis qu'il comptait se consacrer plus amplement à sa société Courrèges Design exploitant les produits autres que la mode. »
« André Courrèges reprend le contrôle de sa maison », Industrie, sur lesechos.fr, Groupe Les Échos, (consulté le ) : « Après avoir appartenu à L'Oréal, au japonais Itokin, à un groupe d'investisseurs français, puis à la Caisse d’Épargne, Courrèges […], change à nouveau de mains […] »
Valérie Leboucq, « Courrèges mise sur le numérique », Mode, sur lesechos.fr, Groupe Les Échos, (consulté le ) : « Tout juste lancée, la boutique en ligne ne risque pas non plus de «cannibaliser » le réseau physique, encore inexistant à l'exception de la boutique parisienne et d'une soixantaine de points de vente dans le monde. […] Surtout, Internet devrait aider à s'affranchir du calendrier de la mode et des coûteux rituels des collections. »
Sandrine Merle, « Lionel Giraud, minijupe et grandes ambitions », Archives, sur lesechos.fr, Groupe Les Échos, (consulté le ) : « La mission de Lionel Giraud est de perpétuer l'esprit iconoclaste de Courrèges en manageant l'Atelier Design mis en place par Jacques Bungert et Frédéric Torloting […] L'Atelier Design, un concept « maison », est une sorte de melting-pot de compétences extrêmement variées, non seulement en matière de mode, mais également de parfum, de cuisine, etc. »
Michèle leloup, « Il faut rendre à Courrèges… », sur lexpress.fr, L'Express, (consulté le ) : « Avec sa coupe architecturée, ses jerseys contrecollés, ses plastiques moulés et ses couleurs acidulées, […] C'est à lui que l'on doit la petite jupe trapèze en vinyle, la robe jogging à capuche Nylon et les bottes plates en plastique blanc. »
Héloïse Gray, « Retour vers le futur », Styles, sur lexpress.fr, L'Express, (consulté le )
« La haute couture agonise », sur liberation.fr, Libération, (consulté le ) : « Début décembre [1995], la maison Guy Laroche a abandonné ses activités de haute couture en fermant ses ateliers. Cette décision fait suite à celles de Carven et Courrèges, qui se sont retirées du calendrier 1996 »
« 13,6 millions de bénéfices », Économie, sur liberation.fr, Libération, (consulté le ) : « Le volume d'affaires dans le monde s'est élevé à 2,4 milliards de francs en 1996. »
lsa-conso.fr
« La Redoute invite Courrèges dans sa collection été 2007 », sur lsa-conso.fr, LSA, (consulté le ) : « La célèbre maison de couture signera 10 modèles «couture future » pour femmes, ainsi qu'une ligne de linge de maison et d'accessoires de toilette dans la collection été 2007 du véadiste. »
« La haute-couture sans Saint-Laurent », Société, sur nouvelobs.com, Le Nouvel Observateur, (consulté le ) : « Des maisons aussi prestigieuses que Carven et Courrèges ont même décidé de revenir cette saison à la haute couture, irremplaçable boîte à idée du prêt-à-porter »
(en) Constance C. R. White, « Courreges, Once Again », Style, sur nytimes.com, The New York Times, (consulté le ) : « This season, looks inspired by Andre Courreges, […] were all over Milan's runways […] This is not the first revival of the Courreges style. The late 1980's also saw a resurgence of interest, as designers plundered the 1960's for inspiration. »
(en) « André Courrèges », sur vam.ac.uk, Victoria and Albert Museum (consulté le ) : « Courrèges wanted to produce affordable clothes. From 1965 he spent two years raising funds to make his clothing more accessible. »
Victoria Houssay, « Parfums Courrèges… le grand retour », Beauté, sur vogue.fr, Condé Nast, (consulté le ) : « De la mythique Eau de Courrèges à la nouvelle fragrance Blanc de Courrèges […] »