Louis Moréri, Le grand dictionnaire historique ou le mélange curieux de l'histoire sacrée et profane, , 944 p. (lire en ligne), p. 508.
Michel Steinmetz, Entrer en liturgie. T1 : Découvrir la messe : Pour comprendre et vivre la messe, , 128 p. (ISBN978-2-7289-2132-4, lire en ligne), p. 48.
Eugène de Montalembert et Claude Abromont, Guide des genres de la musique occidentale, , 1416 p. (ISBN978-2-213-66329-6, lire en ligne), p. 184.
Jacques-Paul Migne, Encyclopédie théologique, , 664 p. (lire en ligne), p. 1210.
Il est vrai qu'enfin, la messe ambrosienne employait le Symbolum Dominicale après l'offertoire. D'ailleurs, au XIIe siècle, un auteur milanais écrivait au regard d'un chant exécuté après l'Évangile : « l'archevêque ou le prêtre l'entonne, et le chœur continue jusqu'à Et homo factus est, après quoi le Magister scholarum l'achève avec ses enfants. » (https://books.google.fr/books?id=ejQRAwAAQBAJ&pg=PA107)
Atelier de recherche et d'interprétation des musiques médiévales, Aspects de la musique liturgique au Moyen Age, , 301 p. (ISBN978-2-907150-20-0, lire en ligne), p. 256.
Michel Huglo (ancien moine de Solesmes), Dictionnaire de la Musique. Science de la Musique : technique, formes, instruments, « Credo », Éditions Bordes, Paris 1976 [lire en ligne]