(fr) « Affaire Boulin : dossier toujours « classifié » pour la CIA », sur franceinter.fr, (consulté le ). Les propos de Raymond Barre dans l'entretien avec Benoît Collombat en 2005 ne sont pas reproduits correctement dans le dossier de Benoît Collombat qui note : « Nous ne savions pas que le RPR allait assassiner Boulin »
Francis Christophe et Loco (dessinateur), Boulin, le fantôme de la Ve République : De Chirac à Sarkozy, , 66 p. (ISBN979-10-90473-06-5, lire en ligne), p. 55.
Louis-Marie Horeau dans Le Canard Enchainé du 27 juin 2007 résume ironiquement la théorie de l'assassinat Louis-Marie Horeau, « Pas d'eau à son Boulin », Le Canard Enchainé, (lire en ligne).
En 2009, Jean Charbonnel déclare que Alexandre Sanguinetti lui aurait alors cité « deux noms de personnalités politiques toujours vivantes » qui pouvaient, d’après lui, être « impliqués dans cette affaire » et le nom « d’une organisation » pour qui « Robert Boulin constituait une menace, une gêne, une inquiétude », « Robert Boulin: un ancien ministre gaulliste évoque un assassinat politique », dépêche de l'AFP, 27 octobre 2009, 6 h 38 [lire en ligne]; dépêche reprise aussi dans Le Parisien (27/10/09)
lemonde.fr
« Les grandes étapes de l'affaire Robert Boulin », Le Monde, (lire en ligne).
leparisien.fr
En 2009, Jean Charbonnel déclare que Alexandre Sanguinetti lui aurait alors cité « deux noms de personnalités politiques toujours vivantes » qui pouvaient, d’après lui, être « impliqués dans cette affaire » et le nom « d’une organisation » pour qui « Robert Boulin constituait une menace, une gêne, une inquiétude », « Robert Boulin: un ancien ministre gaulliste évoque un assassinat politique », dépêche de l'AFP, 27 octobre 2009, 6 h 38 [lire en ligne]; dépêche reprise aussi dans Le Parisien (27/10/09)
Déclaration en , de Luc La Fay, proche collaborateur de Robert Boulin jusqu'à son décès. Déclaration après la diffusion du téléfilm Crime d'État sur France 3. Jean-Marie Pontaut, « "Robert Boulin avait pris la décision de se tuer", selon son conseiller Luc La Fay », L'Express, (lire en ligne).
Jean-Marie Pontaut, « Le garde du corps de Robert Boulin parle », L'Express, (lire en ligne).
Jacques Derogy, « La seconde mort de Robert Boulin », L'Express, (lire en ligne, consulté le ).
liberation.fr
En 2009, l'ancien ministre gaulliste Jean Charbonnel a affirmé sur France Inter qu'au cours d'un repas à Brive-la-Gaillarde qui eut lieu deux mois après la mort de Boulin, qu'Alexandre Sanguinetti lui a donné les noms du commanditaire et des deux assassins dont « deux noms de personnalités politiques toujours vivantes » qui pouvaient, d’après lui, être « impliqués dans cette affaire » et le nom « d’une organisation » pour qui « Robert Boulin constituait une menace, une gêne, une inquiétude ». Charbonnel confie qu'il s'agit pour lui d'un « règlement de comptes politique ». Son domicile est cambriolé à plusieurs reprises. « Affaire Boulin: un ancien ministre évoque un assassinat politique », Libération, .
Les gendarmes constateront un saignement de nez, le visage bleu et enflé. Des photographies données trois ans plus tard aux avocats de sa famille montrent cela. L'orpheline du gaullisme, Le Nouvel Observateur, 31/5/2007.
bibliobs.nouvelobs.com
Anne Crignon et Benoît Collombat, « Que cache la mort de Robert Boulin ? », L'Obs, (lire en ligne)