Faut-il interdire, ou faut-il interdire d’interdire ? Écrit en 2008 par des membres du Service d’addictologie, Département de psychiatrie, Hôpitaux Universitaires de Genève, consulté le 1er février 2012. D'après eux, dans ce concept de crime sans victime, l’action (l’homosexualité, le pacifisme, la prostitution, l’euthanasie, le jeu de hasard, ou la pornographie) est toujours caractérisée par l’échange volontaire de biens et services entre adultes capables de discernement.
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Le trafic de stupéfiants comme crime sans victime, ce sujet est abordé, d'après ce compte-rendu, dans le livre de Nicolas Carrier, La politique de la stupéfaction. Pérennité de la prohibition des drogues aux éditions Presses Universitaires de Rennes (2008. coll. Le sens social, 376 p.). (ISBN978-2-7535-0591-9).