(de) « Wettern gegen „wilde Ehen“, Unterstützung für die Armen », allgemeine-zeitung.de, (lire en ligne) : « (de) Neben Engeln und Heiligen verehrte Faber das als wundertätig geltende Kreuz aus dem Heilig-Kreuz-Stift, das heute in der Schwesternkapelle St. Franziskus im Priesterseminar hängt. (En sus des anges et des saints, Fabre a aussi vénéré la Croix considérée comme miraculeuse dans la collégiale Sainte-Croix, aujourd'hui conservée dans la chapelle Saint-François des sœurs au séminaire.) »
Apportée par bateau, cette croix est débarquée sur un attelage de bœufs qui auraient indiqué d'eux-mêmes le lieu où elle devait être vénérée, cf (de) « Les églises de Weisenau » (consulté le ) ; selon Pierre Favre, le crucifix (différent selon lui de celui abimé par le joueur de 1383) aurait été « trouvé sur le Rhin, nageant contre le cours du fleuve », cf Mémorial du bienheureux Pierre Lefèvre, premier compagnon de S. Ignace de Loyola. Traduit pour la première fois en français (trad. Marcel Bouix), Paris, Gauthier-Villars, (lire en ligne), p. 357
Mémorial du bienheureux Pierre Lefèvre, premier compagnon de S. Ignace de Loyola. Traduit pour la première fois en français (trad. Marcel Bouix), Paris, Gauthier-Villars, (lire en ligne), p. 146, 167, 357.
Apportée par bateau, cette croix est débarquée sur un attelage de bœufs qui auraient indiqué d'eux-mêmes le lieu où elle devait être vénérée, cf (de) « Les églises de Weisenau » (consulté le ) ; selon Pierre Favre, le crucifix (différent selon lui de celui abimé par le joueur de 1383) aurait été « trouvé sur le Rhin, nageant contre le cours du fleuve », cf Mémorial du bienheureux Pierre Lefèvre, premier compagnon de S. Ignace de Loyola. Traduit pour la première fois en français (trad. Marcel Bouix), Paris, Gauthier-Villars, (lire en ligne), p. 357