Eugène-Joseph-Charles-Gilain-Hubert d'Olmen, Baron de Poederlé, Manuel de l'arboriste et du forestier belgiques, Belgique, Flon, (lire en ligne).
Michel-Eugène Chevreul, « Moyen de nommer et de définir les couleurs », Mémoires de l'Académie des sciences de l'Institut de France, t. 33, , p. 256 (lire en ligne). Orangé-jaune, repéré par rapport aux raies D et E, se calcule à une longueur d'onde dominante de 585,9 nm, et 15 ton correspond à une clarté de 28,6 %. S'agissant d'une surface brillante, Chevreul a sûrement utilisé une lumière diffuse (D65). Pour le reflet, il ne peut s'agir que du soleil direct (D55), ce qui explique la différence de position par rapport aux raies de Fraunhofer. 1 rouge-orangé 2 ton correspond à 604 nm, L* = 90,5 %.
« Les courses — Bois de Boulogne », Le Rappel, (lire en ligne).
Charles-Ernest Guignet, Les Couleurs, Paris, Hachette, (lire en ligne), p. 119.