Il existe à Bucarest un « musée du Village », un « musée du paysan roumain », de nombreux orchestres folkloriques dans les restaurants et deux chaînes de télévision consacrées au folklore populaire (Etno-TV sur [1] et Favorit TV)
Décrivant le fascisme roumain et ses crimes, des exégètes postulent que les courants xénophobes et antisémites feraient « partie intégrante » de l'identité roumaine, comme en rend compte Marc Semo dans son article « L'Horreur est roumaine », Libération du - [5].
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Jean Boutier, dans La Vie et l'œuvre de Ion Creanga (1930) mentionne également comme collecteurs de contes de la fin du XIXe siècle I.C. Fundesco, T.M. Arsenie, At. Marienesco, A. Odobesco, N.D. Popesco.
Il existe aussi des Hora féminines ou mixtes, non mentionnées dans l'enregistrement [8] ce qui a suscité de nombreuses protestations en Roumanie chez les spécialistes des arts et traditions populaires, non-consultés
Dont la fiche d'enregistrement a aussi été incorrectement remplie comme « chant de groupe d’hommes, rituel de Noël (Moldavie) » où seul le syntagme « rituel de Noël » est exact [9] ce qui a également suscité des protestations