« Et c'est pourquoi, je vous demande du panache ! Cambrez vous, poitrinez, marchez, marquez le pas (…) Ne connaissez jamais la peur d'être risibles. (…) » (Jules Harazti, Edmond Rostand, 1913, p 205).
Cyrano de Bergerac, réalisation de Claude Barma, avec Daniel Sorano, Françoise Christophe, Michel Galabru, Philippe Noiret, label Véga, Vinyle Coffret , 3 LP , n°8040/42, enregistrement intégral, 1962, durée totale: 2 h 12 min 15 s, écouter en ligne : « Cyrano de Bergerac », sur archive.org (consulté le ).
Gilles Ménage écrit ainsi en 1715 dans ses Menagiana, p. 240« Son nez qu'il avoit tout défiguré, lui a fait tuer plus de 10 personnes. Il ne pouvoit souffrir qu'on le regarda ».
Géraldine Vogel, « Les didascalies dans le théâtre d’Edmond Rostand : entre verbe et action poétique », Coulisses. Revue de théâtre, no 39, , p. 87-100 (ISSN1150-594X, DOI10.4000/coulisses.979, lire en ligne, consulté le ).
Dans un entretien avec un journaliste de Cannes SoleilJérôme Savary avance : « On pourrait dire, en délirant, que Cyrano est homosexuel et que c'est de Christian, en fait, qu'il est amoureux. N'est-il pas prêt à tous les sacrifices pour lui ? N'a-t-il pas peur de l'amour de Roxane ? On pourrait dire qu'il est freudien et que Christian n'est que son double » (Cannes Soleil, no 43, juin 2005) [lire en ligne]
Christophe Barbier, Dictionnaire amoureux du théâtre, Place des éditeurs, coll. « Dictionnaire amoureux », , 782 p. (ISBN978-2-259-24848-8, lire en ligne), « Rappel ».
Jean Lorrain, Mes expositions universelles : 1889-1900, H. Champion, coll. « Textes de littérature moderne et contemporaine » (no 57), , 435 p. (ISBN978-2-7453-0654-8, lire en ligne).
Géraldine Vogel, « Les didascalies dans le théâtre d’Edmond Rostand : entre verbe et action poétique », Coulisses. Revue de théâtre, no 39, , p. 87-100 (ISSN1150-594X, DOI10.4000/coulisses.979, lire en ligne, consulté le ).
Cyrano de Bergerac, dossier d'accompagnement scolaire], Théâtre du trident, 2018, p. 9, 11.
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Géraldine Vogel, « Les didascalies dans le théâtre d’Edmond Rostand : entre verbe et action poétique », Coulisses. Revue de théâtre, no 39, , p. 87-100 (ISSN1150-594X, DOI10.4000/coulisses.979, lire en ligne, consulté le ).
C. Flicker parle à son sujet de pièce « difficilement classable (…) qualifiée tout à la fois de néo-classique, néo-romantique, néo-parnassienne et néo-précieuse », (C. Flicker, Le théâtre « Fin de siècle », cours de littérature française, 2004-2005, p. 42).