Victor Acker, Célestin Freinet : (1896-1966) - L'histoire d'un jeune intellectuel, Éditions L'Harmattan, 2006. Deux autres sources donnent le 3 mai 1940 : ADAM, 169 W 9 et Delphine Lafon, « Célestin Freinet ou la révolution par l’école », mémoire de maîtrise d’histoire préparé sous la direction de Jean-Louis Panicacci, UFR Lettres de Nice, 1999 (voir sur cg06.fr).
culture.gouv.fr
pop.culture.gouv.fr
« Ecole Freinet », sur POP : la plateforme ouverte du patrimoine (consulté le ).
En 1924 Freinet adhère à La Nouvelle éducation, une association fondée par Cousinet et Madeleine Guéritte ; en 1937, toutefois, La Nouvelle Éducation prend ses distances avec Freinet, à cause de ses prises de position politiques. D'après Pierre Boutan, « Les débuts de l’Éducation nouvelle en Algérie d’après le Bulletin de la Fédération algérienne du Syndicat National des Instituteurs », Recherches & éducations, 4 | mars 2011, [En ligne], mis en ligne le . URL : Les débuts de l’Éducation nouvelle en Algérie d’après le Bulletin de la Fédération algérienne du Syndicat National des Instituteurs. Consulté le 14 février 2013.
Antoine Savoye et Emmanuelle Guey, « La coopération scolaire selon Barthélemy Profit, une composante de l’Éducation nouvelle ? », Recherches & éducations, 4 | mars 2011, mis en ligne le 15 novembre 2012 ; voir sur rechercheseducations.revues.org, consulté le 14 février 2013.
chrhc.revues.org
Laurent Frajerman, « Le rôle de l’Internationale des Travailleurs de l’Enseignement dans l’émergence de l’identité communiste enseignante en France (1919-1932) », Cahiers d'histoire. Revue d'histoire critique [En ligne], 85 | 2001, mis en ligne le 1er octobre 2004, consulté le 11 février 2013. Voir : « Célestin Frénet (1896-1966) », par Louis Legrand.
rfp.revues.org
Laurent Frajerman, « Robert André. Miroirs du syndicalisme enseignant », Revue française de pédagogie [En ligne], 161 | octobre-décembre 2007, mis en ligne le 24 novembre 2010, consulté le 11 février 2013. URL : Robert André. Miroirs du syndicalisme enseignant
« En 1950, Freinet est exclu du Parti communiste avec lequel il n’est plus d’accord. Il s’ensuit des remous dans son mouvement. » « Célestin Frénet (1896-1966) », par Louis Legrand.