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Sévigny, A. (1991). «S'habituer dans le pays» : facteurs d'établissement du soldat en Nouvelle-France à la fin du grand siècle. Les Cahiers des dix, (46), 61–86. https://doi.org/10.7202/1015582ar, p. 78
Denise Paquin, « Culture et patrimoine Deschambault-Grondines : 40 ans d’action patrimoniale », (consulté le ) : « en 1976, l'édifice abrite une école dédiée aux métiers traditionnels, en 1992, il devient un centre d’interprétation mais conserve un volet de formation en ébénisterie, en forge et en sculpture »
Répertoire du patrimoine culturel du Québec, « Maison Jean Boudreau », (consulté le ) : « Bâtiment en pierre de plan rectangulaire, à un étage et demi et à soubassement surhaussé, coiffé d'un toit à deux versants droits encadré de murs coupe-feu et surmonté d'une large souche de cheminée centrale. »
Commission de Toponymie Québec, « Deschambault-Grondines », (consulté le ) : « Les Deschambaultiens peuvent contempler un magnifique décor tout en s'adonnant à la chasse au canard sur les berges du fleuve, activité pour laquelle la municipalité a la réputation d'être un véritable paradis. »
Commission de Toponymie Québec, « Pointe des Grondines », sur Gouvernement du Québec, (consulté le ) : « Pointe dénommée, dans le langage populaire, La Grande Pointe, Pointe de la Laille ou Grande pointe de la Laille. Le mot laille pourrait provenir de l'anglais light, étant donné qu'il y avait un phare à l'extrémité de l'île. »
Commission de Toponymie Québec, « Rapides Richelieu », (consulté le ) : « Point de repère important pour les navigateurs, les rapides Richelieu se situent en plein centre du Saint-Laurent, à 1,5 km des côtes, entre Lotbinière et Deschambault. »
T.H. Clark, Y. Globensky, « Région de Grondines, Service de l’exploration géologique » [PDF], sur Ministère des richesses naturelles direction générale des mines, (consulté le ) : « Dans la région de Grondines, la largeur du fleuve varie de 11/2 à 2 milles mais le chenail creusé pour les bateaux mesure moins de 1/10 de mille »
Rémi Chénier, « Les vestiges militaires du Cap Lauzon, à Deschambault » [PDF], Parks Canada Department of Indian and Northern Affairs, (consulté le ) : « Ce rapport traite des vestiges militaires du Cap Lauzon, à Deschambault. »
Municipalité de Saint-Casimir, « Historique », (consulté le ) : « Le territoire de Saint-Casimir faisait originellement partie de la seigneurie de Grondines et de la paroisse de Saint-Charles-des-Grondines »
Michel Gagné, « Iroquoiens du Saint-Laurent », sur L'encyclopédie canadienne, (consulté le ) : « une mosaïque de nations qui occupent, entre les années 1200 et 1600 de notre ère, un territoire qui s'étend le long du fleuve Saint-Laurent, de l'embouchure du lac Ontario jusqu'en aval de la ville de Québec »
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Université du Québec à Trois-Rivières (UQAM), « Fonds d’archives des Seigneuries Sainte-Anne-de-la-Pérade et des Grondines », (consulté le ) : « La seigneurie des Grondines est l'une des premières seigneuries créées en Nouvelle-France (1637), elle avait une façade de une lieue (environ 4 km) sur le fleuve Saint-Laurent par dix lieues de profondeur. »