Voir par exemple en 1999 une étude de Florence Rochefort, « L’antiféminisme à la Belle Époque, une rhétorique réactionnaire », dans Christine Bard (dir.), Un siècle d’antiféminisme. Paris, Fayard : 133-147, qui sert de référence à celle de Stéphanie Mayer et Francis Dupuis-Déri (2010) : «partant de l’idée que les discours antiféministes et masculinistes sont au mieux conservateurs, au pire réactionnaires selon une conception inspirée d’Albert O. Hirschman et retravaillée par Florence Rochefort, nous avons relevé les trois thèses critiques du féminisme sont reprises dans Châtelaine» p.57. Voir également Héloïse Michaud, « Rhétoriques réactionnaires et antiféminisme en France : la controverse de l’écriture inclusive » Politique et Sociétés, volume 40, numéro 1, 2021, p. 87–107, https://doi.org/10.7202/1075742ar, lire en ligne.
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« Le discours masculiniste se déploie sous les trois formes
d’une rhétorique réactionnaire d’abord identifiées par Albert O. Hirschman, dont le cadre d’analyse a été régulièrement utilisé par des féministes pour étudier les discours antiféministes », Stéphanie Mayer et Francis Dupuis-Déri (2010), Quand le « prince charmant » s’invite chez Châtelaine. Analyse de la place des hommes et des discours antiféministes et masculinistes dans un magazine féminin québécois, LR des centres de femmes du Québec, Service aux collectivités UQAM, lire enligne p.20.
cairn.info
Lamoureux, Diane et Francis Dupuis-Déri (dir.). 2015. Les antiféminismes. Analyse d’une rhétorique réactionnaire ; cet ouvrage étudie « la reproduction des discours antiféministes, et les manières dont ils s’entrecroisent avec d’autres rhétoriques réactionnaires (Hirschman 1991), telles que les rhétoriques racistes, transphobes et néo-libérales », Auréline Cardoso et Charlotte Thevenet, « Rhétoriques antiféministes : entre recherche et pratiques », GLAD!. Revue sur le langage, le genre, les sexualités, no 04, (ISSN2551-0819, lire en ligne, consulté le ). « Diane Lamoureux décrit d’autres éléments essentiels de ce « terreau antiféministe ». Elle souligne que l’antiféminisme se développe en relation étroite et constante avec la pensée réactionnaire et conservatrice, telle que l’a définie Albert Hirschman ; avec une incertitude identitaire liée à la modernité, qui pousse au rejet de l’autre ainsi qu’une montée des politiques du ressentiment suite aux bouleversements sociaux majeurs », « Notes de lectures », Cahiers du Genre, 2017/1 (n° 62), p. 223-251. DOI : 10.3917/cdge.062.0223,lire en ligne.
doi.org
dx.doi.org
Albert O. Hirschman, « Deux cents ans de rhétorique réactionnaire : le cas de l'effet pervers », Annales, vol. 44, no 1, , p. 67–86 (DOI10.3406/ahess.1989.283577, lire en ligne, consulté le ).
doi.org
Voir par exemple en 1999 une étude de Florence Rochefort, « L’antiféminisme à la Belle Époque, une rhétorique réactionnaire », dans Christine Bard (dir.), Un siècle d’antiféminisme. Paris, Fayard : 133-147, qui sert de référence à celle de Stéphanie Mayer et Francis Dupuis-Déri (2010) : «partant de l’idée que les discours antiféministes et masculinistes sont au mieux conservateurs, au pire réactionnaires selon une conception inspirée d’Albert O. Hirschman et retravaillée par Florence Rochefort, nous avons relevé les trois thèses critiques du féminisme sont reprises dans Châtelaine» p.57. Voir également Héloïse Michaud, « Rhétoriques réactionnaires et antiféminisme en France : la controverse de l’écriture inclusive » Politique et Sociétés, volume 40, numéro 1, 2021, p. 87–107, https://doi.org/10.7202/1075742ar, lire en ligne.
Lamoureux, Diane et Francis Dupuis-Déri (dir.). 2015. Les antiféminismes. Analyse d’une rhétorique réactionnaire ; cet ouvrage étudie « la reproduction des discours antiféministes, et les manières dont ils s’entrecroisent avec d’autres rhétoriques réactionnaires (Hirschman 1991), telles que les rhétoriques racistes, transphobes et néo-libérales », Auréline Cardoso et Charlotte Thevenet, « Rhétoriques antiféministes : entre recherche et pratiques », GLAD!. Revue sur le langage, le genre, les sexualités, no 04, (ISSN2551-0819, lire en ligne, consulté le ). « Diane Lamoureux décrit d’autres éléments essentiels de ce « terreau antiféministe ». Elle souligne que l’antiféminisme se développe en relation étroite et constante avec la pensée réactionnaire et conservatrice, telle que l’a définie Albert Hirschman ; avec une incertitude identitaire liée à la modernité, qui pousse au rejet de l’autre ainsi qu’une montée des politiques du ressentiment suite aux bouleversements sociaux majeurs », « Notes de lectures », Cahiers du Genre, 2017/1 (n° 62), p. 223-251. DOI : 10.3917/cdge.062.0223,lire en ligne.
Antonin Pottier, «Le discours climato-sceptique : une rhétorique réactionnaire», Natures Sciences Sociétés, EDP Sciences, 2013, 21 (1), p. 105-108. ⟨10.1051/nss/2013086⟩. ⟨hal-00865684⟩ lire en ligne.
« Au cours de cette recherche, au départ un combat contre les idées conservatrices, Hirschman découvre le même simplisme chez les partisans des réformes », Antonin Pottier, « Le discours climato-sceptique : une rhétorique réactionnaire », Natures Sciences Sociétés, EDP Sciences, 2013, 21 (1), p. 105-108, lire en ligne.
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Lamoureux, Diane et Francis Dupuis-Déri (dir.). 2015. Les antiféminismes. Analyse d’une rhétorique réactionnaire ; cet ouvrage étudie « la reproduction des discours antiféministes, et les manières dont ils s’entrecroisent avec d’autres rhétoriques réactionnaires (Hirschman 1991), telles que les rhétoriques racistes, transphobes et néo-libérales », Auréline Cardoso et Charlotte Thevenet, « Rhétoriques antiféministes : entre recherche et pratiques », GLAD!. Revue sur le langage, le genre, les sexualités, no 04, (ISSN2551-0819, lire en ligne, consulté le ). « Diane Lamoureux décrit d’autres éléments essentiels de ce « terreau antiféministe ». Elle souligne que l’antiféminisme se développe en relation étroite et constante avec la pensée réactionnaire et conservatrice, telle que l’a définie Albert Hirschman ; avec une incertitude identitaire liée à la modernité, qui pousse au rejet de l’autre ainsi qu’une montée des politiques du ressentiment suite aux bouleversements sociaux majeurs », « Notes de lectures », Cahiers du Genre, 2017/1 (n° 62), p. 223-251. DOI : 10.3917/cdge.062.0223,lire en ligne.
Albert O. Hirschman, « Deux cents ans de rhétorique réactionnaire : le cas de l'effet pervers », Annales, vol. 44, no 1, , p. 67–86 (DOI10.3406/ahess.1989.283577, lire en ligne, consulté le ).
Henry Rousso, « Hirschman Albert O., Deux siècles de rhétorique réactionnaire ». In : Vingtième Siècle, revue d'histoire, n°33, janvier-mars 1992. Dossier : L'épuration en France à la Libération. p. 141-143, lire en ligne.
Christophe Charle, « Albert O. Hirschman, Deux siècles de rhétorique réactionnaire », Annales, vol. 47, no 6, , p. 1195–1197 (lire en ligne, consulté le ).