La commission Vérité et réconciliation utilise celui de « régime militaire » Voir lien sur bajar archivo pour désigner l'époque du régime dictatorial de la junte et celui de la période constitutionnelle régie par la « carta fondamentale » de 1980
Le site internet de la présidence chilienne utilise le terme de « dictature d’Augusto Pinochet ». La commission Vérité et réconciliation utilise celui de « régime militaire » Voir lien sur bajar archivo pour désigner l'époque du régime dictatorial de la junte et celui de la période constitutionnelle régie par la « carta fondamentale » de 1980.
Le site internet de la présidence chilienne utilise le terme de « dictature d’Augusto Pinochet ». La commission Vérité et réconciliation utilise celui de « régime militaire » Voir lien sur bajar archivo pour désigner l'époque du régime dictatorial de la junte et celui de la période constitutionnelle régie par la « carta fondamentale » de 1980.
Selon Fanny Jedlicki, « Les exilés chiliens et l’affaire Pinochet. Retour et transmission de la mémoire », Cahiers de l'URMIS, no 7, Débat : la nation, l'Europe, la démocratie - juin 2001, 2001, [En ligne], mis en ligne le 15 février 2004. URL : http://urmis.revues.org/document15.html. Consulté le 21 janvier 2009. « Donner un chiffre précis s'avère une tâche impossible, les Chiliens ayant alors quitté le pays sont répertoriés sous différents statuts (réfugiés politiques, migrants « ordinaires », personnes bénéficiant du regroupement familial…). Il faut en outre tenir compte de l'hétérogénéité des modes de décompte élaborés par les diverses administrations des nombreux pays ayant accueilli les réfugiés » - Note de l'auteur
rfi.fr
Claire Martin, « Chili : le bilan humain de la dictature d'Augusto Pinochet revu à la hausse », RFI, (lire en ligne)
Cité dans le rapport Rettig qui parle de l'« ingouvernabilité du Chili ». Cette « polarisation politique extrême du Chili » en 1973 a encore été rappelé dans la déclaration de la « table de dialogue » sur les droits de l'homme, signée par les militaires en 2000 par laquelle ils reconnaissaient pour la 1re fois la violation des droits de l'homme durant le régime militaire. Voir également article de Time Magazine du 23 août 1973
tribunalcalificador.cl
Si les habitants de la 9e région ont à 54 % soutenu le général Pinochet, 59 % des habitants de la région de Santiago, fief démocrate-chrétien et région la plus peuplée du pays, l'ont rejeté - Résultats officiels.
Contradictions chiliennes : l'héritage de la dictature, Stéphane Boisard, université de Paris III, site de l'université de Toulouse Le Mirail, « Au Chili, le mot « dictature » est banni » au profit de celui de « gouvernement autoritaire »