Thomas Robson, The British herald, or Cabinet of armorial bearings of the nobility & gentry of Great Britain, 1830, sub verbo DIPFORD, or DITFORD, p. 480 et 481 : Lire en ligne ; ainsi que John Woody Papworth, An Alphabetical Dictionary of Coats of Arms Belonging to Families in Great Britain and Ireland, 1874, p. 45, sous trois graphies différentes : DIFFORT, DIPFORD, DITFORD Lire en ligne
M. Philippa, Etymologisch woordenboek van het Nederlands, 2003-2009, sub verbo "Voorde"[1].
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Thomas Robson, The British herald, or Cabinet of armorial bearings of the nobility & gentry of Great Britain, 1830, sub verbo DIPFORD, or DITFORD, p. 480 et 481 : Lire en ligne ; ainsi que John Woody Papworth, An Alphabetical Dictionary of Coats of Arms Belonging to Families in Great Britain and Ireland, 1874, p. 45, sous trois graphies différentes : DIFFORT, DIPFORD, DITFORD Lire en ligne
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"Le passage du gué et les combats qui s’y livrent ne sont pas l’apanage des insulaires, et, parmi d’autres exemples, Rabelais nous montre Gargantua buvant le Thouet au gué de Ligaine, près de Taizé. (....) On l’a vu, en Irlande, la divinité féminine tutélaire du gué, c’est donc la Morrigane, déesse de la guerre, et le fait que le gué, dans la Razzia des Vaches de Cooley soit le lieu des combats singuliers de Cuchulainn contre les guerriers envoyés par les Irlandais en fait un point de rencontre ou une limite qu’on ne traverse que si on le peut, par exemple si l’on est initié".
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