Myriam Piguet, « Employées à la Société des nations : carrières et conditions de travail, 1920-1932 », Monde(s), vol. 1, no 19, , p. 12 (lire en ligne)
« La langue diplomatique étant du registre politique, elle en possède certaines caractéristiques telles que l’évitement, l’ambiguïté, la minoration ou encore la dissimulation. Aux yeux du public et des observateurs de la vie diplomatique et des relations internationales, ces aspects lui confèrent une première dimension contribuant à la percevoir ou à la caractériser comme une langue de bois ». Olivier Arifon, « Langue diplomatique et langage formel : un code à double entente », Hermès, La Revue, no 58, , p. 69-78 (DOI10.3917/herm.058.0069, lire en ligne)
« La langue diplomatique étant du registre politique, elle en possède certaines caractéristiques telles que l’évitement, l’ambiguïté, la minoration ou encore la dissimulation. Aux yeux du public et des observateurs de la vie diplomatique et des relations internationales, ces aspects lui confèrent une première dimension contribuant à la percevoir ou à la caractériser comme une langue de bois ». Olivier Arifon, « Langue diplomatique et langage formel : un code à double entente », Hermès, La Revue, no 58, , p. 69-78 (DOI10.3917/herm.058.0069, lire en ligne)
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Pierre P. Tremblay, L'administration contemporaine de l'État : une perspective canadienne et québécoise, PUQ, , 684 p. (ISBN978-2-7605-3566-4, lire en ligne)
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Pierre M. Conlon, Le siècle des lumières : bibliographie chronologique, Librairie Droz, (lire en ligne), p. 92
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(en) Maija Bišofa, « Concept and Transformation of Diplomacy », The Humanities and Social Science, (lire en ligne)