Cuba : histoire d’un exodePopulation & Avenir : « À Cuba, le déficit migratoire cumulé s’établit, pour la période 1959 , Année de la prise du pouvoir par Fidel Castro.-2015, à plus d’un million, soit 12 % de la population moyenne durant cette période. En moins d’un demi-siècle, un Cubain sur huit choisit donc de quitter l’île et de tourner le dos à la Révolution castriste. Les quatre cinquièmes optent pour les États-Unis qui, dans les périodes où ce pays les accepte, accueillent ces immigrants comme des réfugiés, victimes de la dictature communiste. »
Marie-Laure Geoffray (maître de conférences à l’Institut des hautes études d’Amérique latine) Existe-t-il une "nouvelle gauche" à Cuba?Science politique, Observatoire Politique de l'Amérique latine et des Caraïbes, Texte originellement paru en allemand dans le numéro d'août de la revue Analyse und Kritik