« Si Dominique Tiberi voit dans l’activité cinématographique des années 70/80 « le besoin de réparer une culture en voie de disparition, vivante et pas seulement comme faisant partie du monde de l’enfance », elle-même investit le genre en libératrice des drames intimes enfouis, avec l’obsession de l’entomologiste. » La cinémathèque itinérante