Pascal Poirier, Le Glossaire acadien, Moncton, Centre d'études acadiennes, (lire en ligne), p. 64, “Beigne est canadien. Nous disons beignet comme en France.”
Jean-Marie Francoeur (2011), Genèse de la cuisine québécoise: À travers ses grandes et petites histoires. Montréal: Fides. (ISBN2762130298) | 608 pages. p. 408-409.[4]
etymonline.com
Doughnut est un terme d'origine américaine dont la graphie simplifiée donut apparut à la fin du XIXe siècle. (Voir (en) « doughnut (n.) », sur Etymology Dictionary (consulté le )). Les deux orthographes cohabitent aujourd’hui, en témoigne l'usage perpétué par la chaîne Krispy Kreme Doughnuts. La popularité de la graphie donut est attribuée à celle de la chaîne Dunkin' Donuts.
google.ca
books.google.ca
(en) Alan Davidson, The Oxford Companion to Food, Oxford, OUP Oxford, coll. « Oxford Companions », , 960 p. (ISBN978-0-19-104072-6, lire en ligne)
Marcel Juneau (1975), “Un pionnier de la lexicologie québécoise: le père Pierre-Philippe Potier, s.j.
” Langues et Linguistique, No 1, p. 51-68.[1]</> Le lexique a été publié une première fois, pour sa partie linguistique, dans le ’’Bulletin de la Société du parler français au Canada’’, vol. 3, p. 213-220, 253-255 et 291-293 sous le titre POTIER (Père), «Façons de parler proverbiales, triviales, figurées, etc. des Canadiens au XVIIIe siècle» (le mot beigne se trouvant à la page 254). Une édition intégrale est due à Peter W. Halford (1994), ’’Le Français des Canadiens à la veille de la Conquête : témoignage du père Pierre Philippe Potier, s.j.’’ Ottawa: Presses de l’Université d’Ottawa.
tlfq.ulaval.ca
James Roy (1877), «The French Language in Canada», dans ’’Canadian Illustrated News’’, Montréal, vol. 16, no 17, 27 oct., p. 258-259.[2]