Le terme est déjà évoqué par Pierre-Marie Le Mesl au début du XIXe siècle pour désigner la « peinture des voix ». Cf. G.-N. Redler (dir.), Journal grammatical, littéraire et philosophique de la langue française et des langues en général, 2e série, tome 3, Paris, 1836, p. 182, lire en ligne sur Gallica. La « vocographie », apparue à la même époque, propose quant à elle de désigner « l'art de représenter habilement la voix dans toute la pureté de son expression ». Cf. Bibliographie de la France ou Journal général de l'imprimerie et de la librairie, 21e année, Pillet, Paris, 1832, p. 587, lire en ligne sur Gallica. Aucun de ces termes n'est parvenu à s'imposer.
cairn.info
HOLLANDER Régine, « « Doublage et sous-titrage Étude de cas : Natural Born Killers (Tueurs nés) » », Revue française d’études américaines, 2001/2 (no88), , p. 79-88. (lire en ligne)
doi.org
dx.doi.org
(en) Martine Danan, « Dubbing as an Expression of Nationalism », Meta : journal des traducteurs / Meta: Translators' Journal, vol. 36, no 4, , p. 606–614 (ISSN0026-0452 et 1492-1421, DOI10.7202/002446ar, lire en ligne, consulté le )
Frédérique Brisset, « Noms de marque en traduction audiovisuelle : un cocktail pas très homogène », Palimpsestes. Revue de traduction, no 26, , p. 69–85 (ISSN1148-8158, DOI10.4000/palimpsestes.1918, lire en ligne, consulté le )
erudit.org
(en) Martine Danan, « Dubbing as an Expression of Nationalism », Meta : journal des traducteurs / Meta: Translators' Journal, vol. 36, no 4, , p. 606–614 (ISSN0026-0452 et 1492-1421, DOI10.7202/002446ar, lire en ligne, consulté le )
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Frédérique Brisset, « Noms de marque en traduction audiovisuelle : un cocktail pas très homogène », Palimpsestes. Revue de traduction, no 26, , p. 69–85 (ISSN1148-8158, DOI10.4000/palimpsestes.1918, lire en ligne, consulté le )
Doubleur sur linguee.fr : « Note au doubleur de voix : Veuillez appuyer sur la phrase suivante » / « Note to voice actor: Emphasize the following sentence ».
« Voxographie », sur linternaute.com (consulté le ) : « Le terme voxographie est utilisé dans le domaine audiovisuel pour faire référence à la compilation soit des œuvres qui ont nécessité un doublage vocal, soit des comédiens qui ont prêté leur voix auxdites œuvres. ».
openedition.org
journals.openedition.org
Frédérique Brisset, « Noms de marque en traduction audiovisuelle : un cocktail pas très homogène », Palimpsestes. Revue de traduction, no 26, , p. 69–85 (ISSN1148-8158, DOI10.4000/palimpsestes.1918, lire en ligne, consulté le )
Cf. Bérénice Bonhomme, Les stars et le cinéma d’animation, Cahiers de l'Association française des enseignants et chercheurs en cinéma et audiovisuel, juin 2014. Tout en soulignant que ce type de prestation vocale n'est « pas à proprement parler » du doublage, l'article n'en emploie pas moins le mot à son sujet, citant en exemple le « doublage du génie par Robin Williams dans Aladdin »
Traduction en voix hors champ effectuée, avec un léger décalage, par-dessus un commentaire initial, lequel reste audible en arrière-plan sonore ; cf. Anne-Lise Weidmann, Narration et voice-over, sur le site a:t:a:a (Association des traducteurs et adaptateurs de l'audiovisuel), 2006 : « Dans le programme français, la voix du comédien lisant la traduction se superpose à la voix d’origine de l’intervenant. Au mixage, l’ingénieur son laisse généralement une « amorce » de quelques secondes avant de caler la voix française (ainsi que quelques secondes à la fin, dans la mesure du possible). Par conséquent, le texte français une fois lu à voix haute doit être légèrement plus court que l’original. »