« Les réflexions fondées sur le rapprochement avec l'immunité dont jouissait la pertica de Carthage, quoique vraisemblables, sont tout de même hypothétiques, quelle que soit l'ingéniosité mise à justifier ce point de vue et à l'adapter au commentaire de tous les documents rassemblés. La défense de la liberté pouvait aussi s'exprimer dans des conflits avec des communautés voisines, ou bien dans des questions de préséance dans la vie provinciale. Bref, si l'on veut l'envisager comme un tout, le problème de la liberté de Dougga, comme celui d'autres cités de la province, reste entier en raison du caractère abstrait du vocabulaire utilisé. Les références aux valeurs idéales de la vie municipale masquent trop souvent l'originalité et la singularité des situations vécues » (Michel Christol, « De la liberté recouvrée d'Uchi Maius à la liberté de Dougga », Revue de philologie, de littérature et d'histoire anciennes, vol. LXXVIII, , p. 13-42 (ISSN0035-1652, lire en ligne, consulté le )).
CILVIII, 27374 ; inscription relue et commentée par Jacques Gascou, « Conservator pagi (d'après l'inscription de Thugga CIL VIII, 27374) », dans Mustapha Khanoussi et Louis Maurin, Dougga (Thugga) : études épigraphiques, Bordeaux, Ausonius, , p. 97-104.
Paul Veyne, « Le Marsyas colonial et l'indépendance des cités », Revue de philologie, de littérature et d'histoire anciennes, no 35, , p. 86-98 (ISSN0035-1652).
« Les réflexions fondées sur le rapprochement avec l'immunité dont jouissait la pertica de Carthage, quoique vraisemblables, sont tout de même hypothétiques, quelle que soit l'ingéniosité mise à justifier ce point de vue et à l'adapter au commentaire de tous les documents rassemblés. La défense de la liberté pouvait aussi s'exprimer dans des conflits avec des communautés voisines, ou bien dans des questions de préséance dans la vie provinciale. Bref, si l'on veut l'envisager comme un tout, le problème de la liberté de Dougga, comme celui d'autres cités de la province, reste entier en raison du caractère abstrait du vocabulaire utilisé. Les références aux valeurs idéales de la vie municipale masquent trop souvent l'originalité et la singularité des situations vécues » (Michel Christol, « De la liberté recouvrée d'Uchi Maius à la liberté de Dougga », Revue de philologie, de littérature et d'histoire anciennes, vol. LXXVIII, , p. 13-42 (ISSN0035-1652, lire en ligne, consulté le )).
Cyrielle Le Moigne, « La vie secrète des ruines de Dougga », Geo « Tunisie : ses trésors méconnus », , p. 40-41 (ISSN0220-8245).
persee.fr
Azedine Beschaouch, « Épigraphie et ethnographie. D'une fête populaire de Dougga, en Tunisie, à la dédicace de l'aqueduc de Thugga, en Afrique romaine », CRAI, vol. 144, no 4, , p. 1173-1182 (lire en ligne, consulté le ).