Selon Ronan Le Coadic, qui s'appuie sur Jean-Jacques Monnier (Jean-Jacques Monnier, 2007, Résistance et conscience bretonne (1940-1945) : L’Hermine contre la croix gammée. Fouesnant : Yoran Embanner), le Gwenn ha Du aurait été utilisé pendant la guerre par la Résistance (voir : (en) Ronan Le Coadic, « Brittany's New 'Bonnets Rouges' and their Critics », dans Liam Anton Brannelly; Gregory Darwin; Patrick McCoy; Kathryn O’Neill, Proceedings of the Harvard Celtic Colloquium, 34, Cambridge, Harvard University Press, (ISBN9780674088566, lire en ligne), p. 13.). Toutefois Monnier ne fait pas mention d'une telle utilisation, et se contente de publier la photo de membres du Parti national breton arborant ce drapeau, membres dissidents qui animeront ultérieurement un groupe de résistants dans la région nantaise.
L. Gabriel-Robinet, « J'ai vu à Vannes les druides de France et de Grande-Bretagne officier pour l'amitié des deux pays », Le Figaro, no 213, , p. 1lire en ligne sur Gallica.
Drapeaux bretons : La Bretagne par ses drapeaux, « Organisations », sur Kevarzhe Vannielouriezh Vreizh / Société Bretonne de Vexillologie, (consulté le )
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worldcat.org
Michel Pastoureau, « L'hermine : de l'héraldique ducale à la symbolique de l'État », dans Jean Kerherve et Tanguy Daniel, 1491, la Bretagne terre d'Europe : colloque international, Brest, 2-4 octobre 1991, Brest, Centre de recherche bretonne et celtique, , 516 p. (OCLC463640846)