On le retrouve dans D. de Ivigné Broissinière, Dictionaire théologique, historique, poétique, cosmographique et chronologique, Paris, (lire en ligne), p. 65.
Saint-Amans, Jean-Florimond Boudon de, Voyage agricole, botanique et pittoresque dans une partie des landes de Lot-et-Garonne et de celles de la Gironde…, Agen, P. Noubel, , 224 p. (lire en ligne), p. 61.
Lire sur le Blog Dalloz, qui émane du grand éditeur juridique, Droit de cuissage et autres gaillardises. « La controverse a vraiment pris corps au XIXe siècle et on pourrait la résumer par l'affrontement opposant les libéraux et anticléricaux – tenants de l'existence du droit de cuissage, et donc ses pourfendeurs –, aux catholiques, pour certains royalistes, avides de réhabiliter l'honneur du système féodal. L'enjeu ? Politique évidemment, puisque dénigrer l'Ancien Régime en dénonçant ses abus, sa barbarie et son oppression revenait, implicitement, à louer la République. »
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Marguerite Gonon, « Métiers de femmes à Lyon (XIIIe – XIVe siècles) », dans Jacqueline Cerquiglini-Toulet, Mélanges de philologie et de littérature médiévales offerts à Michel Burger, Librairie Droz, (ISBN978-2-600-00017-8), p. 130.
Selon Paul-Eric Blanrue, « Le Droit de cuissage : un malentendu qui a la vie dure », sur Le Cercle Zététique (consulté le ), différent du cuissage, le droit de cullage était un contrôle du seigneur sur le formariage, le mariage hors-seigneurie. Il aurait été associé au cuissage uniquement pour des raisons d'homonymie.