La réduction phénoménologique, ou épochè phénoménologique, consiste dans « l’abandon de la thèse naturelle de l’existence du monde pour passer à une attitude philosophique, et considérer toutes choses comme des phénomènes. Ce qui demeure après cette réduction phénoménologique, c’est la conscience pure, le moi avec ses pensées ». Voir Marie Gazeaud, « À propos de L’Être fini et l’Être éternel d’Édith Stein », Cahiers de l’IPC, no 68, , p. 77 (lire en ligne [PDF])
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R. Dumareau, « Un témoin de la lumière : Édith Stein », Les Études philosophiques, vol. 10e année, no 2, , p. 242 (lire en ligne).