sur la dimension patrimoniale et emblématique d'El cóndor pasa, voir notamment la première section de l'article du Wikipédia en espagnol sur le même thème, ainsi que : (es) La República, « "El cóndor pasa" patrimonio cultural de la nación » [« "El cóndor pasa", patrimoine culturel de la nation »], (consulté le )
Voir ici la comparaison des démarches des deux auteurs : (es) La República, article de Pedro Escribano, « "El cóndor pasa" patrimonio cultural de la nación » [« El Cóndor pasa patrimoine culturel de la nation »], (consulté le ).
andarayenlima.com
voir la section Tradición de l’article du Wikipédia en espagnol consacré à ce thème du Manchay Puito(es). Voir aussi, sur le site d’une association localisée dans un autre des districts possibles d’origine de la légende (Province de Condesuyos dans le sud du Pérou), une version passablement différente et peut-être plus historique du Manchay Puitu : (es) « Origen Milenario de la creación de los pueblos de Andaray, Yanaquihua, Salamanca y Chichas » [« Origine millénaire de la création des villages d’Andaray, Yanaquihua, Salamanca et Chichas [et aussi Huamanmarca, village disparu] »], sur Asociación residentes del distrito de Andaray en Lima [Association des habitants du district d’Andaray dans la région de Lima] (consulté le ).
babelio.com
On trouvera un résumé, un compte-rendu critique et de nombreux extraits de ce roman, ainsi qu’une présentation de ce rituel ici : « Yawar fiesta (La fête du sang) de José María Arguedas », sur Babelio (consulté le )
Voir l’extrait de la préface de Mario Vargas Llosa à Diamants et silex (roman de José María Arguedas), qui aborde cette question de l’animisme latent dans les Andes, extrait qu’on pourra lire ici avec de larges extraits du roman lui-même montrant que la musique exprime la communion avec la nature des populations autochtones (voir la 2e critique du 24 octobre 2014) : Mario Vargas Llosa sur José María Arguedas, « Diamants et silex », sur Babelio, (consulté le ).
Notamment (ainsi que le soutient Enrique Pinilla op. cité plus haut et ci-dessous) d'un chant d'amour de la province de Jauja, où Robles a longtemps séjourné et y a rencontré sa première femme, chant dont le titre en quechua est “Huk urpichatam uywakarkani”, cité dans le célèbre livre des époux d'Harcourt La Musique des Incas et ses survivances, exemple musical no 47, page 303, publié à Paris en 1925 à la Librairie orientaliste Paul Geuthner, soit douze ans après la première de la pièce de Robles et Baudouin à Lima. Voir : « Catalogue Général de la Bibliothèque nationale de France, Notice bibliographique numéro : FRBNF32222188 », sur catalogue.bnf.fr (consulté le )
books.google.com
(en) Paul Richard Steele, Handbook of Inca Mythology [« Manuel de Mythologie Inca »], ABC-CLIO, , 319 p. (ISBN978-1-57607-354-4, lire en ligne). On trouvera de larges extraits de ce livre ici : (en) Paul Richard Steele, Handbook of Inca Mythology [« Manuel de Mythologie Inca »],
Olga M. Gonzalez, Unveiling Secrets of War in the Peruvian Andes [« Pour dévoiler les secrets de la guerre dans les Andes péruviennes (sur la guérilla maoïste du groupe Sentier Lumineux, et ses racines autochtones éventuelles) »], University of Chicago Press, , 307 p. (ISBN978-0-226-30271-3, lire en ligne). On pourra lire la quatrième de couverture de cet ouvrage ici : Olga M. Gonzalez, Unveiling Secrets of War in the Peruvian Andes, .
Sur ce sujet, voir en tant qu’ouvrage de référence : Pierre Duviols, La lutte contre les religions autochtones dans le Pérou colonial : l'extirpation de l'idolâtrie entre 1532 et 1660, Toulouse, Presses Univ. du Mirail, 2008, article 1572, première édition : 1971, 414 p. (ISBN978-2-85816-960-3, présentation en ligne)
Voir notamment ses ouvrages : -(en) Gary Urton (Les signes du Quipu Inca : un code binaire dans les archives mémorielles des cordes nouées andines), Signs of the Inka Khipu : Binary Coding in the Andean Knotted-String Records, University of Texas Press (Austin), , 202 p. (ISBN0-292-78540-2 et 978-0292785403, lire en ligne). Édition en espagnol : Signos del Quipu Inka, Código Binario. Cuzco: Centro Bartolomé de las Casas ed. (2005). On en lira de larges extraits ici : Gary Urton, Signs of the Inka Khipu, . Ainsi que : -The Khipus of Laguna de los Cóndores / Los Quipus de la Laguna de los Cóndores [Les Quipus de la Lagune des Condors]. Forma e Imágen ed. (2008, Lima). Et enfin : (en) Gary Urton, Inka History in Knots : Reading Khipus as Primary Sources [« L'Histoire des Incas par les nœuds : lire les quipus comme des sources primaires »], Austin, TX, University of Texas Press, , 319 p. (ISBN978-1-4773-1199-8 et 1-4773-1199-8, lire en ligne), on en lira de larges extraits ici : Gary Urton, Inka History in Knots, . Voir aussi le site : (en + es) Gary Urton & Carrie Brezine, « The People behind the Project » [« Les gens qui sont derrière le projet »], sur Khipu Database Project, (consulté le )
Voir ici notamment les entrées consacrées à D. A. Robles et aux époux d’Harcourt(es) Cantera de sonidos : « el sonido (y el silencio) es creación » [le son/la musique (et le silence) est création], « Breves notas para una visión general de la música indígena y mestiza, de Marcela Conejo » [« Courtes notes pour un panorama général de la musique indigène et métisse, par Marcela Conejo »], (consulté le )
(es) Marcela Cornejo, « Daniel Alomía Robles en primera persona » [« Daniel Alomía Robles à la première personne, § 4 »], sur cantera de sonidos, (consulté le )
casadellibro.com
et au sujet du messianisme dans les Andes tout au long de l’histoire jusqu’à nos jours, voir comme ouvrage de référence : (es) Juan Manuel Ossio, EL MESIANISMO ANDINO [« Le messianisme andin »], TROTTA, coll. « Enciclopedia IberoAmericana de las Religiones [Encyclopédie Ibéro-Américaine des Religions] », , ebook PDF – DRM, en résumé ici : (es) Juan Manuel Ossio, « El mesianismo andino » [« Le messianisme andin »], sur Casa del Libro, (consulté le )
cervantesvirtual.com
Voir le texte intégral de cette légende, en espagnol, avec d’autres contes populaires, ici : (es) Ricardo Palma, « Tradiciones peruanas. Cuarta serie. El Manchay-Puito. » [« Traditions péruviennes, quatrième série, Le Manchay-Puito »], sur Biblioteca virtual Miguel de Cervantes (consulté le ). Ce texte a d’ailleurs été repris sur le projet Wikisource en espagnol, ici : (es) Ricardo Palma, « El Manchay-Puito » [« Le Manchay-Puito »], sur Wikisource, un projet Wikimedia, (consulté le ).
Voir cette thèse développée par Enrique Pinilla ici : (es) Criollos peruanos, « Daniel Alomía Robles », (consulté le )
dailymotion.com
Cette version originale par Los Incas, la plus célèbre de toutes, car elle a aussi accompagné la version chantée par Simon & Garfunkel, peut être écoutée en ligne ici : « Los Incas - El condor pasa », sur Daily Motion (consulté le )
edgarespinozaperu.blogspot.com
(es) Luz Ángeles et Edgar Espinoza, « La mística de la quena » [« La mystique de la kena »], sur Edgar Espinoza E, (consulté le ).
Phil, le kéniste cité dans la chanson de Maxime Le Forestier, existe réellement : il s'agit de Phil Polizatto, qui a donné une interview évoquant la "Maison bleue" et ses années 1970 ici : (fr + en) Hélène Goupil et Anne Sengès, « Hunga Dunga: la maison des gens heureux », sur France-Amérique, the best of french culture, (consulté le ). Le même kéniste Phil Polizatto a raconté l'expérience de cette communauté hippie de la "Maison bleue" dans un livre consultable ici : Phil Polizatto (trad. de l'anglais par François Vincent), C'est une maison bleue… : Confessions d'un éternel hippie [« Hunga Dunga – Confessions of an Unapologetic Hippie »], Paris, Les Arènes, , 237 p. (ISBN978-2-35204-754-4, lire en ligne)
galeon.com
Par exemple, Tino Brodard affirme : « La quena es el instrumento musical Inca por antonomasia » [trad. : La quena est l'instrument musical Inca par antonomase (ou par excellence)] à consulter ici : (es) Tino Brodard, « Música andina - Instrumentos de viento - La Quena o Kena » [« Musique andine - Instruments à vent - La Quena ou Kena »], sur Tino Brodard - Música Andina y Latinoamericana (consulté le )
Voir ici une photographie de Kenas anciennes prise au Museo de Instrumentos Precolombinos de Aguas Calientes [Musée d'instruments précolombiens d'Aguas Calientes, village le plus proche du Machu Picchu ], Cuzco - Pérou(es) Tino Brodard, « Acerca de mi - Instrumentos » [« À propos de moi - mes instruments »] (consulté le )
Phil, le kéniste cité dans la chanson de Maxime Le Forestier, existe réellement : il s'agit de Phil Polizatto, qui a donné une interview évoquant la "Maison bleue" et ses années 1970 ici : (fr + en) Hélène Goupil et Anne Sengès, « Hunga Dunga: la maison des gens heureux », sur France-Amérique, the best of french culture, (consulté le ). Le même kéniste Phil Polizatto a raconté l'expérience de cette communauté hippie de la "Maison bleue" dans un livre consultable ici : Phil Polizatto (trad. de l'anglais par François Vincent), C'est une maison bleue… : Confessions d'un éternel hippie [« Hunga Dunga – Confessions of an Unapologetic Hippie »], Paris, Les Arènes, , 237 p. (ISBN978-2-35204-754-4, lire en ligne)
harvard.edu
khipukamayuq.fas.harvard.edu
Voir notamment ses ouvrages : -(en) Gary Urton (Les signes du Quipu Inca : un code binaire dans les archives mémorielles des cordes nouées andines), Signs of the Inka Khipu : Binary Coding in the Andean Knotted-String Records, University of Texas Press (Austin), , 202 p. (ISBN0-292-78540-2 et 978-0292785403, lire en ligne). Édition en espagnol : Signos del Quipu Inka, Código Binario. Cuzco: Centro Bartolomé de las Casas ed. (2005). On en lira de larges extraits ici : Gary Urton, Signs of the Inka Khipu, . Ainsi que : -The Khipus of Laguna de los Cóndores / Los Quipus de la Laguna de los Cóndores [Les Quipus de la Lagune des Condors]. Forma e Imágen ed. (2008, Lima). Et enfin : (en) Gary Urton, Inka History in Knots : Reading Khipus as Primary Sources [« L'Histoire des Incas par les nœuds : lire les quipus comme des sources primaires »], Austin, TX, University of Texas Press, , 319 p. (ISBN978-1-4773-1199-8 et 1-4773-1199-8, lire en ligne), on en lira de larges extraits ici : Gary Urton, Inka History in Knots, . Voir aussi le site : (en + es) Gary Urton & Carrie Brezine, « The People behind the Project » [« Les gens qui sont derrière le projet »], sur Khipu Database Project, (consulté le )
Magda von der Heydt-Coca, « When Worlds Collide: The Incorporation Of The Andean World Into The Emerging World-Economy In The Colonial Period » [« Quand les mondes entrent en collision : l’incorporation du monde andin dans l’économie-monde pendant la période coloniale »], Revue : Dialectical Anthropology, vol. 24-1, , p. 1–43. On trouvera un résumé de cet article ici : (fr + en) Magda von der Heydt-Coca, « When Worlds Collide », sur ResearchGate, (consulté le ). Et on trouvera l’introduction de cet article ici : (en) Magda von der Heydt-Coca, « When Worlds Collide », sur JSTOR, (consulté le )
lactualite.com
Guillaume Brodeur, « La cité des lamas sacrés », sur L’actualité/monde (magazine), (consulté le )
(es) Latinoamerica-online, citant Raimundo López et Enrique Pinilla, « "El cóndor pasa" declarada Patrimonio Cultural de Perú » [« "El cóndor pasa" déclaré Patrimoine Culturel du Pérou »], 2004 et 2005 (consulté le )
dont la traduction en français est disponible ici : Ricardo Palma, « Traditions péruviennes », sur le comptoir des presses d'universités, (consulté le ) et les références de cette édition en français sont : Ricardo Palma, Traditions péruviennes (traduit, présenté et complété par Bernard Lavallé), Presses universitaires de Bordeaux, coll. « Numéro 84 », , 256 p. (ISBN978-2-909596-26-6), p. 256 (nb de pages).
dont on pourra lire "l’épopée" et les épisodes quasi légendaires, illustrant l'effervescence musicale nouvelle, née des musiques latino-américaines, qui s'épanouissait autour du cabaret (ou peña) L’Escale au no 15 de la Rue Monsieur le Prince, au Quartier Latin (ou "Barrio Latino", le bien nommé !) ici : « La quena à Paris. Mémoire d'un passionné », sur Maison Orange, Salsa et danses du monde (consulté le ). Voir notamment le § "Los Incas : à l'origine de la musique andine à Paris".
Voir : (en) site personnel officiel, « Sabine Hyland », (consulté le ), ainsi que l'article : (en) Daniel Cossins, « We thought the Incas couldn’t write. These knots change everything » [« Nous pensions que les Incas ne pouvaient écrire. Ces nœuds changent tout »], New Scientist, (lire en ligne, consulté le ).
Voir aussi le livre de Xavier Bellenger, qui pose la même question, à savoir : « existe-t-il toujours dans les Andes des expressions musicales qui plongent leurs racines dans l’époque précolombienne et procèdent d’un art antique dont la signification s’est perdue ? », dont on lira de larges extraits ici : (es) IFEA : Institut français d’études andines, OpenEdition books, « El espacio musical andino, modo ritualizado de producción musical en la isla de Taquile y en la región del lago Titicaca » [« l’espace musical andin, mode ritualisé de production musicale dans l’île de Taquile et la región du Lac Titicaca »], (consulté le ).
On trouvera sur le remarquable site de Paco Jiménez une photo d'une sépulture précolombienne montrant le squelette d'une personne enterrée avec des flûtes kenas confectionnées dans les os de ses ancêtres, ici : (es) Paco Jiménez, « Organología de los Instrumentos Andinos de Viento # Quenas » [« organologie des instruments à vent des Andes # Quenas »], sur Pacoweb Música Andina (consulté le ).
(qu + es) Paco Jiménez, « Leyenda del Manchay Puitu » [« La légende du Manchay Puitu (caverne ténébreuse) »], sur Pacoweb Música Andina, (consulté le ).
On trouvera un résumé de la légende du Manchay Puitu, le texte du poème en quechua traduit en espagnol et des illustrations du jeu de la Kena dans une jarre sur le remarquable site de Paco Jiménez déjà cité, ici : (qu + es) Paco Jiménez, « Leyenda del Manchay Puitu » [« La légende du Manchay Puitu (caverne ténébreuse) »], sur Pacoweb Música Andina, (consulté le ).
On[Qui ?] trouvera une description précise des échelles et des modes pentatoniques andins, inspirée d'ailleurs de l'étude des époux d'Harcourt et de Robles, sur le site de Paco Jiménez déjà cité, ici : (es) Paco Jiménez, « Pentatonía andina, Escalas Pentatónicas » [« Pentaphonie andine (échelles pentatoniques) »], sur Pacoweb Música andina (consulté le ).
persee.fr
voir notamment sur ce sujet l'article de Gérard Borras, paru dans le numéro 58 de la revue Caravelle (Cahiers du monde hispanique et luso-brésilien) consacré à « L'image de l'Amérique latine en France depuis cinq cents ans », année 1992, pp. 141-150 : « La « musique des Andes » en France : "l'Indianité" ou comment la récupérer », sur Persée (consulté le )
Voir aussi l’article de Xavier Bellenger, dans la même revue Caravelle (Cahiers du monde hispanique et luso-brésilien) année 1985, no 44 consacré à la Bolivie, pp. 27-31 « Musique andine, à la recherche du sens perdu », sur Persée, (consulté le )
sur ce thème, voir : « Rito y milenarismo en los Andes, del Taki Onqoy a Inkarrí » [rite et millénarisme dans les Andes, du Taki Unquy (maladie du chant : rébellion religieuse des Indiens au XVIe siècle) jusqu’à Inkarrí], revue Allpanchis no 10, 1977, p. 84. Et aussi « Inka est le modèle originaire de tout être », comme l’affirmaient les Indiens de Canas à José María Arguedas, cité par Nicole Fourtané, op. cit. p. 53 : « Mythe, utopie et contre-utopie dans les Andes : La figure de l'Inca », sur Persée (consulté le )
Rosaleen Howard-Malverde, La conceptualisation de la parole et du silence dans la construction de l'identité quechua, Journal de la société des américanistes, numéro 76, (lire en ligne), pp. 105-120
Magda von der Heydt-Coca, « When Worlds Collide: The Incorporation Of The Andean World Into The Emerging World-Economy In The Colonial Period » [« Quand les mondes entrent en collision : l’incorporation du monde andin dans l’économie-monde pendant la période coloniale »], Revue : Dialectical Anthropology, vol. 24-1, , p. 1–43. On trouvera un résumé de cet article ici : (fr + en) Magda von der Heydt-Coca, « When Worlds Collide », sur ResearchGate, (consulté le ). Et on trouvera l’introduction de cet article ici : (en) Magda von der Heydt-Coca, « When Worlds Collide », sur JSTOR, (consulté le )
Voir passim plusieurs photos d'instruments précolombiens, et notamment une figurine de joueur d'antara sur une bouteille sifflante en céramique de culture Moche (-100 à 600 ap. J.-C.), ici page 25 : (en) Dale A. Olsen, « Studying Latin American Music - Introduction to the Music Cultures of the Region » [« Étude de la Musique Latino-américaine - Introduction aux cultures musicales de la région »] (consulté le ), p. 25
sabinehyland.com
Voir : (en) site personnel officiel, « Sabine Hyland », (consulté le ), ainsi que l'article : (en) Daniel Cossins, « We thought the Incas couldn’t write. These knots change everything » [« Nous pensions que les Incas ne pouvaient écrire. Ces nœuds changent tout »], New Scientist, (lire en ligne, consulté le ).
On trouvera un résumé rédigé par Marguerite Béclard d’Harcourt elle-même, hélas en espagnol, de cet ouvrage difficile à se procurer ou à consulter, ici : (es) Marguerite Béclard d’Harcourt publié à Paris en 1929 dans la revue La Gaceta Musical, « ¿ Existe una música incaica ? » [« Existe-t-il une musique incaïque ? »] [PDF], (consulté le )
tripod.com
maxmundo.tripod.com
Notre traduction de : (es) Max Calloapaza Ortega citant Arturo Jiménez Borja, « La Quena », sur Andean journey (voyage dans les Andes), (consulté le )
uclouvain.be
dial.uclouvain.be
notamment lorsqu'il dit en nota bene, après avoir donné un extrait de la partition de ce chant Yaraví no 4, à la page 16 du texte de sa conférence sur la musique Inca : « N.B. le thème des trois premières mesures ne vous rappellent-elles rien? ». De même il indique page 22 du même texte : « El cóndor pasa est d'abord une mélodie andine très ancienne, sans doute d’origine préhispanique (?). Elle est (re)connue dès le XVIIIe siècle. Autour de 1913, le compositeur péruvien Daniel Alomia Robles (1871 -1942) a codé cette mélodie traditionnelle populaire et l'a utilisée peu ou prou comme thème [arrangé] pour ensemble instrumental. On la retrouve dans des partitions originales de cette époque. » Lire en ligne cette conférence (déjà citée) ici : « Un cas musical : la musique Inca (et ses survivances), de Jean-Lambert Charlier », sur Centre de Recherche en Musique et Musicologie (CERMUS) –Université catholique de Louvain (consulté le )
De même le musicologue Jean-Lambert Charlier, de l'Université Catholique de Louvain, indique (p. 22 du document en lien ci-après) « El cóndor pasa est d'abord une mélodie andine très ancienne, sans doute d’origine préhispanique. Elle est (re)connue dès le XVIIIe siècle ». Dans le même document, il cite aussi en partition (p. 16) le « Chant Yaraví (mélodie no 4) », déjà évoqué, transcrit par Marguerite d’Harcourt en 1920 et reproduit dans son livre (Paris 1925, op. cité plus haut), et dont les quatre premières mesures sont exactement les mêmes que celles de la première phrase entière de El cóndor pasa, voir : « Un cas musical : la musique Inca (et ses survivances) », sur Centre de Recherche en Musique et Musicologie (CERMUS) – Université catholique de Louvain, année académique 2011-2012. (consulté le )
ucm.es
revistas.ucm.es
(es) Dr Atuq Eusebio Manga Qespi, « Pacha: un concepto andino de espacio y tiempo » [« Pacha, un concept andin d’espace-temps »], sur Revista española de Antropología Americana, no 24, p. 155–189. Edit. Complutense, Madrid., (consulté le )
Voir à ce sujet la section de l'article "El cóndor pasa…" du Wikipédia en espagnol consacrée aux versions et adaptations.
voir la section Tradición de l’article du Wikipédia en espagnol consacré à ce thème du Manchay Puito(es). Voir aussi, sur le site d’une association localisée dans un autre des districts possibles d’origine de la légende (Province de Condesuyos dans le sud du Pérou), une version passablement différente et peut-être plus historique du Manchay Puitu : (es) « Origen Milenario de la creación de los pueblos de Andaray, Yanaquihua, Salamanca y Chichas » [« Origine millénaire de la création des villages d’Andaray, Yanaquihua, Salamanca et Chichas [et aussi Huamanmarca, village disparu] »], sur Asociación residentes del distrito de Andaray en Lima [Association des habitants du district d’Andaray dans la région de Lima] (consulté le ).
sur ce sujet du messianisme dans les Andes à l’époque de la conquête espagnole, voir les rapports au roi et récits sur le rituel et les révoltes indiennes du Taki Unquy, au XVIe siècle, par Cristóbal de Albornoz(es) « l’extirpateur des idolâtries », réédité et préfacé par Ladislao Landa en 2018 : (es) Cristóbal de Albornoz, Mesianismo y Utopía en América : Perú, Siglo XVI, informaciones de Cristóbal de Albornoz [« Messianisme et Utopie dans le Pérou du XVIe siècle, rapports de Cristóbal de Albornoz »], CreateSpace Independent Publishing Platform, (ISBN978-1-9835-4634-1), en extraits ici : (es) Mesianismo y Utopía en América: Perú, Siglo XVI [« Messianisme et Utopie dans le Pérou du XVIe siècle »]
en.wikipedia.org
voir la section : "Connections between pachas" (connexions entre pachas) de l’article du wikipédia en anglais consacré au concept de Pacha (mythologie inca)(en).
wikisource.org
es.wikisource.org
Voir le texte intégral de cette légende, en espagnol, avec d’autres contes populaires, ici : (es) Ricardo Palma, « Tradiciones peruanas. Cuarta serie. El Manchay-Puito. » [« Traditions péruviennes, quatrième série, Le Manchay-Puito »], sur Biblioteca virtual Miguel de Cervantes (consulté le ). Ce texte a d’ailleurs été repris sur le projet Wikisource en espagnol, ici : (es) Ricardo Palma, « El Manchay-Puito » [« Le Manchay-Puito »], sur Wikisource, un projet Wikimedia, (consulté le ).
On pourra entendre leur célèbre version accompagnée par Los Incas ici : (en) « El condor pasa (if I could) », sur YouTube (consulté le )
Cette version, avec les paroles en surimpression pour "karaoké", est accessible ici: « Marie Laforêt Tribute », sur YouTube (consulté le ), ou encore ici, couplée avec la chanson "La Plage" en forme d'hommage nostalgique à la beauté et au talent de Marie Laforêt : « Marie Laforêt Tribute », sur YouTube (consulté le )
La même version chantée d’El Condor pasa de Paul Simon avec des images d'archives diverses de l'époque montrant Simon et Garfunkel, ainsi que Jorge Milchberg au charango, Carlos Benn Pott à la kena et Carlos Guerra à la guitare, est consultable ici : Simon & Garfunkel avec Los Incas, « El condor pasa », sur YouTube (consulté le )
La reconstitution de cette version originale peut être écoutée en ligne ici (le Prélude est de 0 à 1’50’’, la partie I (7) lente ou Passacalle est de 14’44’’ à 15’57’’, et la partie II (5) rapide ou Baile-Kashua est de 11’32’’ à 12’37’’) : (es) Daniel Alomía Robles et Julio de La Paz, « El Cóndor Pasa...Original ¡¡Primicia Mundial!! 7 Partes Musicales... » [« El Cóndor Pasa... version originale en première mondiale ! Les 7 parties musicales »], sur YouTube, (consulté le )
Cette version originale de Los Incas en 1963, avec un passage en revue de quelques-unes des pochettes de ses nombreuses rééditions, peut être écoutée en ligne ici : Los Incas, « El condor pasa 1963 VERSION ORIGINALE », sur YouTube, (consulté le )
Cette version de 1983 d'El cóndor pasa tirée de l'album Un Instant d'éternité par Los Incas peut être écoutée en ligne ici : Los Incas, « El Condor Pasa », sur YouTube ℗ Musavida, (consulté le ). Une capture en concert de cette version d'El cóndor pasa enchaînée avec Sikuris dans la formation actuelle (années 2010) de Los Incas (Jorge et Olivier Milchberg, María Elena Medina Riera, Fidel Guigui) en 2013 au Mexique peut être vue ici : Los Incas, « El Condor pasa - Sikuris », sur YouTube, (consulté le ) et ici en 2014 (?) : Los Incas/Urubamba, « El cóndor pasa », sur YouTube, (consulté le )
Cette version peut être écoutée ici (à noter que l'oiseau sur la pochette est un aigle royal et non un condor des Andes, ce qui ne retire rien à la musique) : « Los Chacos - El Condor Pasa », sur YouTube (consulté le )
On pourra entendre cette étonnante version instrumentale chinoise ici en version studio avec clip : 12 Girls Band, « El cóndor pasa (Original Music Video) », sur YouTube (consulté le ) et ici en concert au Japon : 12 Girls Band, « El Condor Pasa concert in Japan in HD », sur YouTube (consulté le )
Voir ici cette version chantée en quechua par le groupe péruvien Wayna Picchu(qu) « CONDOR PASA, letras en quechua », sur YouTube (consulté le )