Dans un article publié en 1998, « Le Point de vue féminin dans les romans de Jane Austen », Pierre Goubert constate la fascination qu'exercent les apprentis séducteurs dans les romans de Jane Austen et rappelle la réaction de cette dernière devant le personnage de Don Juan qu'elle a vu au théâtre en septembre 1813 : « je n'ai jamais vu au théâtre de personnage plus captivant que ce mélange de cruauté et de lubricité » (« I have seen nobody on the stage who has been a more interesting character than that compound of cruelty and lust ».